Merci à tous d’avoir participé aux Ateliers Prévirisq Inondations qui ont eu lieu cette année au Grand Bornand du 29 juin au 1er juillet. Ce rendez-vous a été l’occasion de partager, discuter et s’entraîner autour de la prévention du risque inondation.
Les supports de présentations et les photos de l’évènement sont en ligne !
En France comme en Espagne, les réformes territoriales engagées depuis deux décennies engendrent de
profondes évolutions en termes d’aménagement et de gestion des milieux fluviaux et humides. Ces deux
champs d’action sont d’ailleurs marqués par un nombre croissant d’interlocuteurs et une diversification de leurs périmètres d’investigation. Dans ce contexte se pose la question des échelles de l’action publique à l’égard de ces entités, notamment pour prévenir et gérer les inondations. Optant pour une démarche
géohistorique et diachronique, notre démonstration s’appuie sur deux siècles de retours d’expérience (du
début du XIXe siècle à aujourd’hui) de quatre cités fluviales contrastées, émanant des deux pays : Amiens
(Somme), Lleida (Segre), Orléans (Loire) et Terrassa (ramblas). Dans chacun des cas, cette démarche fait
ressortir des processus non pas linéaires et complémentaires mais cycliques et antagonistes, révélés par une grande diversité d’acteurs, d’outils et de modes de conception en matière de prévention et de gestion des inondations. L’enjeu consiste, pour chaque site étudié, à repérer l’échelle d’action publique optimale et, par ce biais, le système de gouvernance ainsi que le schéma d’aménagement et de gestion associés.
Marie FOURNIER – EA Géomatique et Foncier ; Jérôme CARDINAL ; Mathilde GRALEPOIS ; Sofia GUEVARA – UMR CITERES, Université de Tours ;
Depuis le début des années 2000 en France, dans des secteurs de ZEC proches de centres urbains, on
observe la multiplication de projets dits « multi-fonctionnels » prenant le plus souvent la forme de parcs périurbains ou agri-urbains cherchant à concilier gestion des aléas hydrologiques extrêmes, autres enjeux
environnementaux, mais aussi fonctions sociales et éducatives. A partir de deux exemples de projets menés dans des agglomérations ligériennes (secteur de la Bouillie à Blois et Iles Noires sur la commune de la Riche), cette communication souligne les enjeux de justice sociale et environnementale que posent ces projets d’aménagement, en particulier vis-à-vis des usages et usagers, parfois très précaires, de ces espaces. Dans les deux cas, l’argumentaire de la mise en sécurité a amené initialement à la mobilisation de mécanismes juridiques lourds pour la délocalisation des biens et personnes résidentes, mécanismes contestés localement au regard de leurs effets sociaux. Aujourd’hui, ces projets changent d’échelle : des temps de concertation sont organisés par les pouvoirs publics pour les accompagner, avec l’ambition de concilier des vocations multiples, au-delà de l’enjeu du contrôle de l’inondation. Le dépassement de la seule question du risque tend cependant à faire disparaître la question des usages et usagers « historiques » de ces espaces.
Les fleuves apparaissent comme un support renouvelé de projet pour les territoires, qui mobilisent
fréquemment leurs cours d’eau au service de leurs stratégies. C’est le cas des deux exemples analysés : le
projet “Tourisme Transfrontalier Fluvial Soutenable” développé par trois villes françaises et espagnoles –
Perpignan, Lleida et Girona – autour de quatre fleuves ; le projet “Trois territoires” développé par trois
comarques appartenant à trois communautés autonomes espagnoles – Terra Alta en Catalogne, Matarraña en Aragon et Els Ports en Communauté Valencienne. Dans ces deux projets, des collectivités locales tissent des coopérations autour des fleuves qu’elles ont en commun afin de développer un « tourisme fluvial ». Leur étude comparée permet d’en interroger les deux dimensions structurantes. Économique tout d’abord puisque l’objectif majeur affiché par ces projets est de participer au développement local des territoires. Le fleuve apparaît alors comme support privilégié pour la construction de nouvelles ressources territoriales. Quelles sont les attentes des collectivités locales en la matière ? Et quelles sont les spécificités des activités et pratiques touristiques pensées par ces collectivités autour des fleuves ? Géopolitique ensuite dans la mesure où ces projets s’accompagnent d’une dynamique de coopération territoriale justifiée par une logique hydrographique, celle du fleuve comme trait d’union entre territoires administrativement fragmentés.
12 :00 – À la recherche d’une ressource territoriale spécifique : l’exemple de la Saône en Haute-Saône
Les cours d’eau ont fait l’objet de nombreux aménagements afin de transformer leur nature biophysique en ressources économiques. En France, le développement touristique apparaît comme un des leviers
contemporains d’une politique de développement territorial au bord des cours d’eau. Face à la multiplication des services et produits touristiques, les politiques publiques doivent identifier des ressources spécifiques pour se distinguer. Or la récurrence de ce type de politiques publiques entraîne un risque de banalisation de la ressource. Cette contribution est à l’interface entre politiques publiques, recherche scientifique et pratiques d’enseignement. Centrée sur la Saône (le principal affluent du Rhône) dans le département de la Haute- Saône, elle repose sur 25 entretiens semi-directifs avec des personnes expertes de la rivière et plus de 80 questionnaires auprès d’acteurs et d’actrices du tourisme. Ces données ont fait l’objet d’analyses quantitatives et qualitatives. La Saône est considérée par les acteurs et actrices du territoire comme un atout pour le développement territorial : les personnes expertes considèrent majoritairement le tourisme comme le principal levier de développement. Toutefois, face au risque de banalisation, le positionnement de la destination doit s’appuyer sur une stratégie plus précise pour donner une lisibilité à sa spécificité (à la fois culturelle, paysagère et biophysique) et pour permettre l’identification d’un panier de biens et de services.
Retrouvez les informations et présentations de L’EPTB Durance, l’EPTB Dordogne et l’EPTB Saone-Doubs sur notre article dédié !
La quatrième conférence internationale sur les recherches et actions au service des fleuves et grandes rivières naturels ou fortement anthropisés s’est tenu à Lyon du 4 au 8 juillet. Elle avait pour but de favoriser un croisement des approches ainsi qu’un dialogue entre tous les acteurs.
“LIFE rivière Dordogne : un projet pilote pour la gestion sédimentaire écologique des grands cours d’eau en France et en Europe“
Mercredi 6 juillet – Restaurer les plaines alluviales
“La mise en place d’une démarche pour initier une vision politique à 15-20 ans pour l’avenir du Val de Saône en lien avec le dérèglement climatique“
Jeudi 7 juillet – Concerter pour faire face au Changement climatique
“Partage de la ressource sur le bassin de la Durance : comment mettre l’avenir en débat ?“
Jeudi 7 juillet – Concerter pour faire face au Changement climatique
L’ANEB partenaire de cet événement a animé une des conférences.
Session B7, le jeudi 7 juillet – PENSER LE DEVELOPPEMENT TERRITORIAL
La quatrième conférence internationale sur les recherches et actions au service des fleuves et grandes rivières naturels ou fortement anthropisés se tiendra à Lyon du 4 au 8 juillet. Elle a pour but de favoriser un croisement des approches ainsi qu’un dialogue entre tous les acteurs.
Cette conférence internationale porte sur les recherches et actions au service des fleuves et grandes rivières.
LIFE rivière Dordogne : un projet pilote pour la gestion sédimentaire écologique des grands cours d’eau en France et en Europe
Mercredi 6 juillet – Restaurer les plaines alluviales
“La mise en place d’une démarche pour initier une vision politique à 15-20 ans pour l’avenir du Val de Saône en lien avec le dérèglement climatique“
Jeudi 7 juillet – Concerter pour faire face au Changement climatique
“Partage de la ressource sur le bassin de la Durance : comment mettre l’avenir en débat ?“
Jeudi 7 juillet – Concerter pour faire face au Changement climatique
L’ANEB partenaire de cet événement animera une des conférences.
Session B7, le jeudi 7 juillet – PENSER LE DEVELOPPEMENT TERRITORIAL
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Ce projet, financé par l’Office français de la biodiversité, l’Office de l’eau de Martinique, l’Office de l’eau de Guadeloupe et le Comité français de l’UICN, d’une durée de 26 mois, a pour finalité la réalisation d’un guide technique articulé autour d’une dizaine de mares à restaurer sur les territoires de Martinique, Guadeloupe et Saint-Martin.
Ces mares feront l’objet d’une phase d’expérimentations d’une année qui aboutira à une restauration et des préconisations d’entretiens adaptées qui seront retranscrites dans le guide REMA.
Chaque site a été sélectionné selon différents critères (typologie, fonctionnement, besoins, actions à privilégier…). La mare se devant d’être/d’avoir :
Des formations basées sur le guide technique REMA seront le point d’orgue de ce projet avec la volonté de s’inscrire sur le long-terme en répondant à toute velléité de conservation de ces « mini-zones humides » en milieux tropicaux.
La journée de lancement de la fête des mares 2022 s’est déroulée le mardi 24 mai 2022 à l’Académie du Climat à Paris. L’ANEB – de par sa mission de portage du Pôle Relais Mares et Vallées alluviales – a assistée aux échanges.
Cette matinée a été l’occasion de revenir sur la place des mares sur les territoires, leur nombre, comment les prendre en compte et comment les protéger. Ces échanges ont permis d’aborder les aspects techniques, environnementaux, culturels, et même poétiques qui entourent les mares.
C’était aussi l’occasion de souligner leur rôle d’alliées contre les changements climatiques, et d’aborder les moyens de mobilisation des acteurs et de la société autour de ces écosystèmes si particuliers.
Liste des intervenants :
Les dictionnaires et scénarios de données facilitent les échanges de données liées à l’eau à l’échelle nationale. Ils créent un langage commun entre tous les acteurs qui produisent, bancarisent et valorisent des données sur l’eau et les milieux aquatiques dans le cadre du Système d’information sur l’eau (SIE).
Les dictionnaires décrivent sur le plan informatique les données liées à une thématique, et les scénarios d’échanges décrivent les modalités d’échange des flux de données.
Trois scénarios d’échanges viennent d’être publiés :
L’ ouverture se déroulera sur l’Épi du Fort à la Roque d’Anthéron (13), le dimanche 3 juillet 2022 à 11h. Cette dernière sera suivi d’un apéro-concert qui se tiendra à partir de midi sur le stand du SMAVD au cœur du village éphémère.
Retrouvez le webinaire en vidéo ci-dessous, ainsi que la présentation PPT en pièce jointe de l’article.
La BD TOPAGE® est le référentiel hydrographique français à grande échelle (précision métrique). Il vise à répondre aux besoins communs de l’ensemble des acteurs du Système d’Information sur l’Eau (SIE) et doit leur permettre d’échanger et de mutualiser à toutes les échelles sur les éléments hydrographiques de surface du territoire national.
La BD TOPAGE® se compose des jeux de données des cours d’eau, plans d’eau, tronçons hydrographiques, surfaces élémentaires, nœuds hydrographiques (sources et exutoires), limites terre-mer, bassins hydrographiques et bassins versant topographiques (ces trois derniers jeux de données seront remplacés par des données plus précises à moyen terme).
Comme annoncé, le scénario d’échanges a également fait l’objet d’une mise à jour : ICI
La BD TOPAGE® est le référentiel hydrographique des acteurs de l’eau et des milieux aquatiques, coproduit par l’IGN et l’OFB. Elle a pour objectif d’être la plus exhaustive possible afin d’être utilisée par l’ensemble des acteurs de l’eau pour appuyer les missions de connaissance environnementale, de gestion et de protection des milieux. Diffusée sous licence ouverte, ce référentiel technique socle a vocation à être enrichi et mis à jour annuellement.
Le Sandre a pour mission, d’établir et de mettre à disposition le référentiel des données sur l’eau du SIE. Ce référentiel, composé de spécifications techniques et de listes de codes libres d’utilisation, décrit les modalités d’échange des données sur l’eau à l’échelle de la France. D’un point de vue informatique, le Sandre garantit l’interopérabilité des systèmes d’information relatifs à l’eau.
Placé sous l’autorité directe du Président de l’Etablissement, et avec l’appui d’un Comité de Direction composé de 6 chefs de pôles thématiques et géographiques (dont un responsable du pôle administratif et financier), vous assurez la gestion de l’Etablissement et dirigez les équipes en place (35 collaborateurs).
En cohérence avec les orientations préalablement définies par le Président et le Comité Syndical, vous proposez et accompagnez des projets, suscitez des opérations et montages innovants dans le cadre des compétences de l’EPTB, développez les partenariats et proposez les adaptations et évolutions nécessaires. De nombreux déplacements sont à prévoir. Vous êtes secondé, selon les besoins et dans la période de prise de poste, par le chef du Pôle inondation, actuel Directeur Général par intérim.
CV et lettre de motivation à adresser par voie électronique avant le 15 juillet 2022
Découvrez la fiche de poste en pièce jointe de cet article
Le volontaire participera aux diverses activités agricoles en extérieur en respectant et en promouvant les techniques d’agro-écologie. Le volontaire contribuera au suivi des paramêtres des milieux naturels ainsi qu’à l’appui des animations sur site ou en dehors (accueil de groupes, promotion des produits de la ferme) et à l’organisation d’évènements ciblant le grand public, les scolaires, etc (portes ouvertes, de ferme en ferme, festival de la nature, …)
Lancé en 2017 grâce au soutien des agences de l’Eau Rhône-Méditerrannée-Corse et Loire-Bretagne, le Marathon de la Biodiversité a permis de recenser sur les 35 communes de la CCSB, les haies et les mares existantes à proximité des cours d’eau et d’en dresser un premier état écologique. La mise en œuvre de l’action débutée en 2018 consiste à recréer les continuités écologiques en restaurant et en créant 42 kilomètres de haies et 42 mares dans les zones à enjeux pour la préservation de la biodiversité et de la qualité de l’eau.
L’enjeu du marathon de la biodiversité est donc double :
Sur le site de la Communauté de communes Saône-Beaujolais
Sur le site “Capitales Françaises de la Biodiversité”
Le séminaire de l’ANEB a été l’occasion pour plusieurs gestionnaires de présenter leurs observatoires et de répondre à certaines des questions ci-dessus (dans le cadre de l’atelier 5C ” les observatoires de bassins”). Retrouvez ci-dessous les interventions de l’EPTB Sèvre Nantaise, l’Institution Adour et l’EPTB Charente.
Observatoire de la qualité de l’eau – EPTB Sèvre Nantaise
Retrouvez l’intervention d’Antoine Rivière qui présente, entre autre, l’observatoire, l’outil web Sysma, ou encore le développement d’une API bientôt en open source !
Regarder l’intervention (10 min)
Télécharger l’intervention
Consulter l’observatoire
Contact : ariviere@adreillard
Observatoire de l’Eau de l’Adour
Retrouvez l’intervention de Marie Cheron, qui présente, entre autre, l’observatoire comme compétence obligatoire inscrite dans les statuts de l’EPTB, ainsi que la mission urbanisme et données !
Regarder l’intervention (10min)
Télécharger l’intervention
Consultez l’observatoire
Contact : marie.cheron@institution-adour.fr
Les données sur l’eau – EPTB Charente
Retrouvez l’intervention de Lise Andro qui présente, entre autre, la plateforme e-qualité, ses nouvelles fonctionnalités et l’interface utilisateurs !
Regarder l’intervention (10min)
Télécharger l’intervention
Consulter les cartes interactives
Contact : lise.andro@massonneaua
A l’occasion des séminaires, colloques ou visi’EAu, l’ANEB fait intervenir ses membres pour présenter leurs travaux en lien avec les données (acquisition, gestion, utilisation… )
L’objectif est d’informer et partager avec les organismes de bassin et les différents acteurs de la données (nationaux et territoriaux) sur les différentes thématiques liées aux données (eau-risques-biodiversité-climat) et diffuser les bonnes pratiques, en créant les espaces utiles aux échanges et en réalisant des outils d’information et de capitalisation.
Retrouvez des présentations de l’OFB et du BRGM portant sur les outils de gestion de données du Système d’Information sur l’Eau (SIE) – Interventions présentées dans le cadre du séminaire de l’ANEB en 2022.
Retrouvez les présentations de l’EPTB Sèvre Nantaise, l’Institution Adour et de l’EPTB Charente
Retrouvez les présentations du Life Eau&Climat par l’OIEau et de l’Observatoire Régional Climat Air Energie (ORCAE) par la DREAL Auvergne Rhône Alpes et le Cerema,
Le projet de restauration de la Noue Rouge, initié et piloté par l’EPTB Saône et Doubs, a notamment été primé à l’occasion des Assises nationales pour la biodiversité, organisée à Massy (91) en juin 2019.
Cette fiche est issue du recueil “Agir pour les zones humides : recueil d’expériences dans les vallées du Rhône et de la Saône 2021”. Accédez à la ressource.
La fondation Arcadia vient tout juste de créer le programme Open Rivers en octobre 2021. Ce programme financera de nombreux projets d’effacements de petits ouvrages en Europe (<2m).
En effet, 68 % des obstacles à la continuité des rivières en Europe sont des petits ouvrages, le plus souvent sans utilité.
‘Dam Removal Europe’ est membre du programme.
En 2021, en France, grande championne de la restauration de la continuité, plusieurs centaines de petits obstacles ont disparu et les chantiers d’effacements de grands barrages avancent à grand pas.
A ce jour, déjà 5 projets français, soumis par / via ERN au montant total de plus que 370 000 Euro ont été financé
Cette politique a inspiré d’autres pays et trouve un écho international suite au travail de “Dam Removal Europe”, cofondé par ERN.
L’ensemble du processus jusqu’à la décision finale dure environ 6 mois, c’est à dire jusqu’en novembre 2022. Ensuite il faut réaliser les travaux dans le délai d’un an. Sous certaines conditions, des exceptions sont possibles, notamment pour les projets d’effacements importants et/ou ‘en série’ sur un tronçon de rivière. Les étapes à suivre :
1 – Examen des guidelines (en anglais, en ligne). Si vous avez des questions, vous pouvez contacter ERN ou OpenRivers. Si vous avez l’impression que votre projet pourrait être éligible, vous pouvez passer à la deuxième étape
2 – Rédaction de l’avant-projet sommaire en anglais conformément aux Guidelines avant le 8 juillet 17h (en ligne).
Vous aurez une réponse en août 2022.
3 – Si votre projet sommaire est approuvé, la demande définitive complète doit être soumise en septembre 2022.
La décision finale interviendra en novembre 2022.
Si vous souhaitez candidater, ERN est prêt à vous accompagner et à vous conseiller. Pour tout savoir sur Open Rivers, sur les critères d’éligibilité des effacements, et éventuellement candidater, rendez-vous sur le site >> Plus d’infos
le 9 juin 2022 de 14 -15h
Séance de questions-réponses d’une heure sur le programme et les financements. Les places sont limitées aux 100 premières personnes qui s’inscrivent ! Inscriptions gratuites.
Après un rappel des priorités du 11e programme révisé et du cadre d’intervention de l’agence sur les milieux aquatiques et la continuité écologique, un focus sera réalisé sur les zones humides, milieux essentiels de par leur rôle sur la qualité et la quantité de la ressource en eau.
Comment mettre en œuvre un volet stratégique zones humides (ZH) au sein du contrat territorial (CT) ? Avant de déterminer le programme d’actions, il est nécessaire de s’interroger sur les données zones humides disponibles à l’échelle du périmètre du contrat et les mobiliser. L’objectif est de disposer de zones humides cibles prioritaires pré sélectionnées pour le territoire afin que le porteur de CT puisse définir et programmer son plan d’action de restauration ZH dans sa feuille de route.
Le témoignage d’un porteur de contrat territorial viendra illustrer l’exemple de la mise en œuvre d’une stratégie zone humide.
Cette journée d’échanges sera l’occasion de partager des expériences opérationnelles, d’approfondir la réflexion, d’identifier des leviers d’action.
Les contributions attendues concernent essentiellement :
Cette journée d’échange aura lieu à Bordeaux le 15 novembre 2022 en présentiel.
Si vous souhaitez communiquer lors de la journée, un résumé de 20 lignes environ devra parvenir par mail à muriel.saulais@cerema.fr et elodie.moulin@cerema.fr avant le 24 juin 2022.
Ce résumé devra présenter le titre de l’intervention, l’intervenant, le projet ou l’action, et préciser en quoi ceci est novateur, facilement reproductible ou particulièrement pertinent au regard de l’actualité et de la problématique du thème.
Les contributeurs seront informés de leur sélection pour le 18 juillet 2022 au plus tard.
Les interventions seront d’une durée de 20 minutes (présentations, tables-rondes, etc.) et seront suivies d’une séance de questions-réponses.
Retrouvez l’appel à communication en pièce jointe de cet article !
Frédéric Proniewski a été ingénieur biologiste, puis directeur d’un laboratoire public d’études et d’analyses de l’environnement du Havre. Il est l’auteur de “Créer une mare” aux éditions Ulmer. Ce livre illustré indique comment créer un écosystème riche et vivant dans son jardin ou sur son balcon, et dévoile toute la petite faune qu’une mare permet d’observer.
Crédit photo : © Frédéric Proniewski Salicaire commune (Lythrum salicaria), plante aux fleurs rose, et des formes d’herbes à gazon montées en graine.
