Ce document est disponible en pièce-jointe, ainsi que l’avis de l’ANEB transmis le 10 février 2021.
Cliquez-ici pour accéder à la consultation publique du projet de décret “Gestion quantitative.
Ce document est disponible en pièce-jointe, ainsi que l’avis de l’ANEB transmis le 10 février 2021.
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Le programme du séminaire est disponible en pièce-jointe.
Cette journée scientifique sera structurée en 3 sessions :
Session 1 – Évaluation et suivi des évolutions à venir dans le domaine des ressources en eau
Session 2 – Changement Climatique : quelles menaces pour l’eau ?
Session 3 – Le changement climatique, source d’innovations pour l’eau ?
Animée par Christian PERENNOU, Chef de Projet à la Tour du Valat, cette réunion sera l’occasion pour le groupe de travail de faire le point sur les derniers développements et de définir les priorités à venir.
Pour plus d’infos : https://naturefrance.fr/actualites
L’ANEB, représentée par Caroline Joigneau-Guesnon, participe à ce GT qui a pour objectif de définir des indicateurs sur les milieux d’eau douce. Ces travaux s’inscrivent dans l’Observatoire national de la Biodiversité qui couvre et produit un grand panel d’indicateurs, que vous pouvez retrouver ici : https://naturefrance.fr/
Vous trouverez en pièce-jointe l’ordre du jour de la réunion, qui comporte également la composition de ce GT, ainsi que le compte rendu de la réunion. Merci de ne pas diffuser ces documents.
Pour retrouver toutes les réunions du GT, cliquez ici
L’objectif de ce groupe de travail est de définir des indicateurs sur les milieux d’eau douce.
Ces travaux s’inscrivent dans l’Observatoire national de la Biodiversité qui couvre et produit un grand panel d’indicateurs, que vous pouvez retrouver ici : https://naturefrance.fr/
Vous trouverez ci-dessous les dernières réunions du groupe de travail.
L’ANEB renforce son action en animant une dynamique nationale partenariale visant à rapprocher les acteurs de l’urbanisme et les acteurs de l’eau de manière pérenne autour de diverses problématiques, à toutes les échelles d’intervention, qu’il s’agisse de planification, de programmation, d’accompagnement ou d’opérations.
Cette Master Classe était l’occasion de découvrir les démarches TEN et Capitale française de la Biodiversité au travers des témoignages des acteurs nationaux et territoriaux qui les animent et des élus ayant fait le choix de d’engager leurs collectivités dans ces dispositifs en faveur de la biodiversité. Pourquoi s’engager dans une telle démarche ? Quels bénéfices pour son territoire ? Est-il fait le choix d’associer les habitants et acteurs socio-économiques à la démarche ? Quelle communication ?
Nature en ville, Zéro Artificialisation Nette, Solutions fondées sur la nature, Eviter-Réduire- Compenser… : autant de concepts et outils vertueux qui ont pour objectif de renaturer nos villes, lutter contre l’imperméabilisation et les conséquences du changement climatique. Cette Master Classe propose d’interroger les acteurs de l’eau, de l’urbanisme et de l’aménagement sur les opportunités qu’ils représentent pour la préservation et la valorisation des zones humides.
L’ANEB était présente à cette réunion de l’AFPCN, dont Monsieur Molossi est membre.
Vous trouverez ci-joint l’ensemble des pièces présentées lors de ce Bureau.
Contexte et objectifs
Le bassin de la Dordogne fait partie du dernier système fluvio-estuarien qui abrite encore les 8 espèces de poissons migrateurs amphihalins d’Europe. Elles sont toutes considérées comme des espèces d’intérêt patrimonial et font toutes l’objet de mesures et d’attentions particulières au niveau local, national voire international. Cependant, l’état de conservation de la plupart de ces migrateurs apparait aujourd’hui non satisfaisant voire particulièrement inquiétant. Ces espèces connaissent de nombreux facteurs de pressions comme les obstacles à la migration, la diminution de la qualité et de la quantité des habitats, les éclusées, la pêche ou la prédation.
L’introduction et le développement du silure glane (Silurus glanis) sur le bassin de la Dordogne a conduit les gestionnaires à s’interroger sur l’impact que pouvait avoir cette espèce sur les migrateurs. EPIDOR a ainsi lancé une étude sur ce thème en 2012 qui s’est poursuivie pendant 8 ans. Cette étude a notamment mis en évidence que certaines espèces étaient particulièrement sensibles à cette prédation (en particulier la lamproie marine) et que certains secteurs favorisaient grandement cet impact (cas de l’aval des barrages).
En 2019, les partenaires du bassin se sont accordés pour expérimenter à partir de 2020 une gestion du silure par des prélèvements ciblés réalisés au niveau des barrages de Bergerac, Tuilières et Mauzac.
En 2021, il s’agit de réaliser la seconde phase de cette expérimentation. Elle sera encadrée par EPIDOR et sera basée sur des pêches réalisées par des pêcheurs professionnels prestataires utilisant différentes techniques (filets, verveux, lignes fixes). Ces pêches seront suivies de façon détaillée pour en déterminer les effets sur le silure et sur les autres espèces.
Missions
Sous la responsabilité du Directeur de l’Etablissement Public et du chargé de missions « Poissons migrateurs », vous aurez à réaliser les missions suivantes :
Poste
CDD de 6 mois basé à Castelnaud-la-Chapelle (24), à pourvoir à partir du 1er mars 2021
Salaire : selon conditions statutaires et expérience
De formation bac+2 ou plus en environnement avec spécialisation dans la connaissance et la gestion des milieux aquatiques et des peuplements piscicoles.
Compétences requises : connaissances en ichtyologie, connaissances des aspects techniques et organisationnels de la gestion des espèces et de la pêche en eau douce, rigueur, organisation, autonomie, aptitude au travail de terrain, disponibilité.
Permis B (déplacements fréquents)
Adresser lettre de candidature et CV détaillé avant le 19 février 2021 à :
Monsieur le Président d’EPIDOR, Place de la laïcité 24250 CASTELNAUD-LA-CHAPELLE
Tel : 05 53 29 17 65
Fax : 05 53 28 29 60
Mail : epidor@eptb-dordogne.fr
Contact technique : M. Pascal VERDEYROUX
Les marais de la Seudre et de l’ïle d’Oléron sont milieux extrêmement riches en biodiversité. Véritable nurserie pour de nombreuses espèces de poissons et notamment des anguilles.
Depuis 2010, la Cellule Migrateurs assure un suivi tous les 2 ans afin d’observer la recolonisation par les anguilles jaunes après travaux de restauration et réhabilitation des fossés.
Aujourd’hui, l’objectif est de produire un indicateur de l’état des populations des anguilles dans les marais de la Seudre et de l’Ile d’Oléron.
Voir la vidéo
Les communes et intercommunalités ont jusqu’au 15 mars 2021 pour déposer leur candidature.
Chaque année depuis 2017, l’Office français de la biodiversité propose aux communes et intercommunalités d’identifier les enjeux de biodiversité de leur territoire en réalisant un Atlas de la biodiversité communale (ABC).
La mise en place de cette cartographie des enjeux de biodiversité à l’échelle locale poursuit plusieurs objectifs :
Grâce à ce dispositif, 153 projets d’ABC impliquant 1 407 communes ont pu voir le jour.
Cet appel à projets s’adresse en priorité à l’ensemble des communes et intercommunalités en France métropolitaine et en Outre-mer. L’enveloppe globale atteint cette année 4 millions d’euros, un financement conséquent permis par le plan de relance mis en place par le Gouvernement en septembre dernier ainsi qu’au budget spécifique de l’OFB destiné au financement des projets dans les Pays et Territoires d’Outre-mer (PTOM).
La durée des projets présentés ne doit pas excéder 24 mois, à l’exception des projets mis en œuvre sur 36 mois dans les PTOM. Le plafond maximal de l’aide est fixé à 250 000 euros.
Les dossiers de candidature doivent être envoyés avant le 15 mars 2021 – 23h59 (heure de Paris) sur le site Démarches simplifiées.
Les lauréats seront annoncés en juin 2021.
Retrouvez toutes les informations et les documents à télécharger sur la page dédiée du site de l’OFB
Le 3ème Plan national milieux humides (2014-2018) a été lancé avec l’ambition de poursuivre les efforts de préservation et de reconquête des milieux humides en favorisant une meilleure prise en compte de leurs enjeux dans la sphère de l’ensemble des politiques publiques (e.g. conservation de la biodiversité, adaptation et atténuation du changement climatique, agriculture, urbanisation, infrastructures de transports). Fort de plus de 50 actions réparties en 6 axes de travail (Agriculture, Aménagement du territoire, Communication-éducation-sensibilisation-participation, Connaissance, Outre-mer et Urbanisme), il a permis de faire progresser un grand nombre de sujets, et a rempli largement ses engagements. Malgré cette réussite, la situation des milieux humides continue de se dégrader. Afin d’être plus ambitieux, la future Stratégie nationale pour la biodiversité, qui doit être lancée en fin 2021, intègrera les objectifs du prochain Plan national milieux humides afin que cette thématique soit entièrement incluse dans le socle des politiques nationales et territoriales. Ainsi, l’année 2021 sera consacrée à l’élaboration des objectifs et des actions du futur Plan national milieux humides.
L’objectif de ce stage est d’élaborer un état des lieux des acquis et besoins de connaissances sur les « milieux humides » afin de proposer des pistes pour le volet « connaissance » du futur plan national milieux humides.
Durée
CV + Lettre de motivation à faire parvenir à joanie.catrin@developpement-durable.gouv.fr
+ pdf d’un rapport (stage M1 ou autres travaux) avant le 31 janvier 2021
Retrouvez l’offre complète en pièce jointe
Le Syndicat Mixte d’Aménagement de l’Arve et de ses affluents (SM3A) a lancé des études sur ses têtes de bassin versant afin d’améliorer les connaissances et estimer plus finement l’impact des prélèvements actuels et futurs sur ces milieux.
Une étude quantitative réalisée en 2014 dans le cadre de l’élaboration du SAGE de l’Arve avait en effet montré une tension quantitative de nombreux sous-bassins versants (déficits d’eau chroniques des milieux aquatiques) qui risque de s’accentuer dans les prochaines années.
Ces études, qui ont débuté en 2020 et se dérouleront jusqu’en 2022, devraient aboutir à l’élaboration de plans d’actions locaux. Ces études s’accompagneront de la réalisation de suivis hydrologiques via des jaugeages (suivi ponctuel) et par l’équipement en stations hydrométriques (suivi pérenne).
Suppression de remblais, création de mares, comblement de fossés, lutte contre les espèces invasives…
C’est ce que le Comité intercommunautaire pour l’assainissement du lac du Bourget (CISALB) réalise comme travaux d’aménagement pour améliorer l’alimentation et la rétention en eau de deux de ses zones humides.
En savoir plus
du 30 janvier au 28 février
Chaque année, la Journée mondiale des zones humides (JMZH) est célébrée le 2 février, pour commémorer la signature de la Convention sur les zones humides, le 2 février 1971, dans la ville iranienne de Ramsar.
Inondations, sécheresse, dégradation de la qualité des eaux : les zones humides jouent un rôle majeur pour l’atténuation de ces phénomènes et l’adaptation au changement climatique!
Organisateurs d’animations, pensez à les enregistrer depuis l’espace Organisateurs du portail Zones Humides
Elles seront ainsi répertoriées et seront facilement visibles par tous depuis l’espace visiteurs
Pour parler de vos animations, la coordination nationale française de la JMZH met à votre disposition l’affiche officielle de la Journée mondiale des zones humides, développée par le secrétariat de la Convention de Ramsar et adaptée au contexte français.
Retrouvez également un visuel pour signer vos emails et une série de vignettes et d’animations GIF pour les réseaux sociaux sur le portail Zones Humides
Découvrez également le dossier de presse JMZH 2021
Plus nous serons nombreux à participer et à proposer des animations, et plus cet évènement pour la préservation des zones humides s’inscrira dans l’esprit de chacun.
Au final, ce sont les zones humides qui y gagnent !
de 16h00 à 18h00
En ligne, sur la plateforme Zoom, avec interprétariat Français-Espagnol
A travers l’exemple d’une coopération franco-mexicaine établie depuis 2015 entre les métropoles de Paris et de la ville de Mexico, ce webinaire a pour objectif d’assurer un échange d’expériences sur les bonnes pratiques de coordination entre ville et bassin pour l’adaptation au changement climatique.
Toutes les informations sur le site du RIOB
CONTEXTE :
Il y a cinq ans, le Secrétariat mexicain de l’Environnement et des Ressources Naturelles (SEMARNAT) et le Ministère français de l’Ecologie (aujourd’hui Ministère de la transition écologique) ont signé, en marge de la COP21 (2 Décembre 2015, Paris), un accord de coopération sur la gestion des ressources en eau et l’adaptation au changement climatique.
Depuis 2016, sa mise en œuvre est assurée par l’OiEau à travers le projet d’appui à la Commission Métropolitaine pour le Drainage de la Vallée de Mexico. Ce projet vise le renfort du système de drainage des eaux usées et pluviales de la mégalopole de Mexico. Une meilleure coordination de ses principaux acteurs (Commission nationale de l’eau –CONAGUA, Organisme de bassin de la vallée de Mexico –OCAVM, Société d’Eau de la Ville de Mexico –SACMEX, Commission de l’Eau de l’Etat de Mexico –CAEM) est attendue afin d’améliorer le fonctionnement de ce système par temps de pluie mais aussi afin de prévenir les inondations qui affectent régulièrement la capitale mexicaine et ses 22 millions d’habitants.
L’ANEB, membre de la commission spécialisée du CNTE, a assisté à la dernière réunion de la commission, qui était dédiée à l’orientation de l’action de l’ONERC.
Vous retrouverez ci-joint le support de présentation et le relevé de conclusions de la réunion.
L’ANEB, représentée par son Président, Monsieur Lenglet, était présente au Conseil National de l’Eau qui s’est déroulé le 10 décembre dernier.
Vous retrouverez ci-joint l’ensemble des éléments transmis.
L’assemblée Générale statutaire de l’ANEB s’est déroulée en visioconférence le mercredi 2 décembre, juste après l’assemblée générale ordinaire , de 16h00 à 17h00.
Vous pouvez dés à présent consulter le relevé de décision en pièce-jointe de cet article.
Retrouver toutes les informations relatives à l’AG 2020 sur sa page dédiée : Assemblée générale 2020 de l’ANEB
Le 4 novembre 2020, l’Astee et idealCO ont coorganisé une webconférence sur la réhabilitation des petites rivières urbaines. Les productions du groupe de travail « Réhabilitation des petites rivières urbaines » de l’Astee, réalisées avec le soutien de l’Office français de la biodiversité (OFB) et de son Centre de ressources Cours d’Eau, ont été présentées à cette occasion ainsi que quatre retours d’expériences sur les opérations suivantes : Le Petit Rosne à Sarcelles ; L’Yzeron à Oullins ; L’Huveaune à Auriol ; L’Espace nature départemental du Plan sur les communes de La Garde et du Pradet (Département du Var).