Enquête sur la Gestion des Ripisylves

Dans le cadre d’un réseau européen sur la connaissance et la gestion des ripisylves (Action COST CONVERGES), une large enquête internationale est lancée afin de mieux comprendre les conditions dans lesquelles les forêts alluviales et les ripisylves sont actuellement gérées à travers toute l’Europe.

L’enquête est anonyme, elle est uniquement destinée aux gestionnaires (quel que soit leur domaine d’intervention) et elle prend environ 12 minutes à réaliser.

N’hésitez pas à participer à l’enquête et / ou à la partager autour de vous!

Je réponds à l’enquête

Contact

Si vous souhaitez recevoir les résultats de ce travail ou sur le projet, envoyez un message à

simon.dufour@univ-rennes2.fr

En savoir plus

– Action COST CONVERGES

99e congrès de l’ASTEE – Focus 2020 : « Eau-Déchets et Santé » – Lyon, 14 au 16 septembre 2020

Principales thématiques phares :
– Changement climatique

– Inondations et villes perméable

– Déchets plastiques

– Gestion patrimoniale

– Gestion et valorisation des boues

– Micropolluants

– Réutilisation des eaux usées traitées (REUT)

Pilotes du congrès : Lydie Roberdel, Métropole de Lyon et Olivier Relotius, Veolia

Programme et ouverture des inscriptions fin janvier 2020. Pour plus d’informations sur le site de l’ASTEE

Que la Fête des mares commence !

Le Pôle-relais Mares et Vallées alluviales, partenaire de l’événement, a le plaisir de vous informer que la 5 ème édition de la Fête des Mares 2020 se déroulera partout en France, du 30 mai au 7 juin.

Une fête, c’est-à-dire ?

C’est l’organisation annuelle de nombreux événements sur l’ensemble du territoire national : des ateliers, des sorties nature, des expositions, des conférences, etc.

La Fête des mares a lieu, tous les ans, la première semaine de juin. Elle est coordonnée par la Société nationale de protection de la nature.

Les manifestations organisées permettent, par exemple, d’aborder la complexité de l’écosystème « mare », de découvrir sa richesse faunistique et floristique, de transmettre les pratiques de bonne gestion et de mettre en évidence les initiatives mises en place pour préserver ces milieux.

Et cette année ?

Cette année, étant donnée la situation sanitaire, il a été difficile pour beaucoup de nos partenaires d’organiser des manifestations. Elles sont donc moins nombreuses que les précédentes années, mais plusieurs dizaines auront tout de même lieu dans toute la France. La SNPN fera également vivre cet évènement sur ses réseaux sociaux.

Les français ont montré dès la mise en place des premières mesures de déconfinement leur envie de nature, leur besoin de prendre un grand bol d’air au contact de la nature : la fête des mares en est une très bonne occasion !

Organiser un événement annuel, à l’échelle nationale, dédié à ces milieux est l’occasion de mieux les faire connaître et de sensibiliser la population à l’intérêt de les préserver.


Les mares sont de fantastiques milieux : supports d’une biodiversité originale et étonnante, elles offrent également de multiples services à nos sociétés ! Cependant, comme toutes les zones humides, les mares sont menacées… 90 % d’entre elles ont disparu au cours du siècle dernier et cette tendance se poursuit. Entre 2000 et 2010 presque la moitié des zones humides ont été dégradées.

En France les zones humides, dont font partie les mares, représentent moins de 4% du territoire métropolitain mais plus du quart de la biodiversité, dont 45% des espèces menacées françaises.

Les zones humides sont malheureusement encore les écosystèmes les moins bien conservés.

Du fait de leurs petites tailles, les mares constituent de magnifiques supports pédagogiques de sensibilisation à l’érosion de la biodiversité.


Les évènements sont référencés également dans l’application smartphone « BaladOmarais », application réalisée par l’ex-Onema (aujourd’hui intégré à l’OFB), avec l’Office international de l’eau (OIEau).

Contribution de l’ANEB au projet d’instruction technique « sécheresse »

L’ANEB a été sollicitée, lors du CNE du 14 mai 2020, afin de contribuer au projet d’instruction technique relative à l’amélioration de la gestion des crises sécheresse et à leur résorption, présenté par la ministre Emmanuelle Wargon.

“Les groupements spécialisés de bassin (EPTB, EPAGE et syndicats de bassin ou de nappe notamment) que nous représentons sont pleinement mobilisés sur la gestion quantitative de la ressource en eau, œuvrant sur ces questions depuis plus de 60 ans sur certains territoires (…)”

” (…) C’est pourquoi, pour plus d’efficacité et de simplicité, nous proposons que l’organisation de la gestion de crise soit adossée à l’organisation par sous-bassins hydrographiques (si le bassin est celui du district/Agences de l’eau) et par nappes souterraines. Concrètement, la gouvernance doit être définie à l’échelle des EPTB existants.”

Consultez le courrier adressé par l’ANEB dans son intégralité (pdf ci-contre).

En savoir plus sur l’instruction sécheresse :

  • Les documents définitifs relatifs à l’instruction sécheresse ont été présentés lors du CNE du 16 juillet 2020 : consulter.
  • Le groupe de travail PTGE s’est réuni en juin et juillet : consulter.

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Retour d’expérience – Projet de restauration de zones humides – EPTB Gardons

(Présentation faite dans le cadre du Coup de Fil’eau” organisé le 9 juin 2020 par l’ANEB (en savoir plus).

Projet de restauration de zones humides : choix foncier, méthodes et points clés

Projet des Paluns, terres agricoles ennoyées pendant plusieurs mois (hiver 2019-2020) malgré les drains

Intervenant : Jean-Philippe REYGROBELLET, chargé de mission, EPTB Gardons

Résumé

Pour une mise en place pérenne, un projet de restauration de zones humides demande d’anticiper  de nombreux points d’attention en terme méthodologique, tant sur les aspects fonciers, financiers, réglementaires, pédagogiques que sur les modalités de gestion de ces milieux.

Pour l’illustrer, l’EPTB Gardons présentera les éléments clés de la mise en œuvre du plan de gestion pour la restauration de la zone humide des Paluns, dans le Gard, dont il est maître d’ouvrage. Cette zone de 60 ha est composée d’une diversité de milieux humides, sur une partie desquelles une activité agricole compatible doit perdurer.


Ressources

Retrouvez ci-contre

  • la présentation de Jean-Philippe Reygrobellet lors du Coup de Fil’eau
  • la fiche synthèse du retour d’expérience de l’EPTB Gardons
    Retrouvez également la fiche du CERTU sur : La DUP “réserve foncière”


CNE – Comité national de l’eau – Groupe de travail Continuité – 5 mars 2020

Dans le cadre de l’action 3* du Plan d’action pour une politique apaisée de restauration de la continuité écologique, l’ANEB, en partenariat avec la FNCCR travaille à l’élaboration d’un outil d’aide à la décision des porteurs de projets de Restauration de la Continuité Ecologique des cours d’eau, axé sur l’approche de la concertation.

Cet outil permettra aux acteurs d’identifier les étapes clés, recommandations, ressources et exemples liés à un projet de restauration de la continuité écologique, dans ses dimensions spatiale et temporelle. Il sera livré en version 1 à l’automne 2020.

Ce GT était l’occasion de présenter l’état d’avancement de ce projet ainsi que ceux des autres actions du plan, qui livreront à terme un boîte à outils complémentaires.

 *Action n°3 : Accompagner la mise en œuvre des projets par la maîtrise d’ouvrage publique locale → livrables : des outils d’aide à la décision des collectivités.

Séminaire ANEB – 14 & 15 novembre 2019 – Les présentations sont en ligne

Le séminaire annuel de l’ANEB s’est déroulé les 14 et 15 novembre 2019 à la Maison Montmartre (Paris).

Les 18 ateliers thématiques ont permis aux 110 participant.e.s de partager les points d’actualité, retours d’expériences, apports juridiques ou techniques sur les sujets liés à l’eau tels que les zones humides & l’urbanisme, la gestion des ripisylves, les observatoires du changement climatique, les Projets de Territoires pour la Gestion de l’Eau, les démarches de concertation pour des projets de continuités écologiques…

Retrouvez quelques images des deux journées ici.

Retrouvez ci-dessous le lien vers les articles dédiés à chacun des ateliers :

https://bassinversant.org/wp-content/uploads/2019/11/Programme-complet-ANEB-2019.pdf

JMZH 2020 Communiqué de Presse de l’ANEB et Dossier de Presse

En France, la Journée mondiale des zones humides rassemble citoyens et acteurs au travers près de 700  animations, du 1er au 29 février, pour découvrir ces milieux. Les Établissements Publics Territoriaux de Bassin et syndicats de bassin se mobilisent pour proposer des animations autour de la préservation des zones humides.

Retrouvez le communiqué de Presse de l’ANEB, structure porteuse du Pôle-relais zones humides, mares et vallées alluviales  : Communiqué de Presse

Retrouvez également le dossier de Presse de RAMSAR France : Dossier de Presse

 

 

Note technique – Ce que pensent les gestionnaires de milieux aquatiques de la GEMAPI en Auvergne-Rhône-Alpes !

L’ARRA² a conduit une enquête de plusieurs mois auprès des gestionnaires de milieux aquatiques sur l’ensemble de la région Auvergne-Rhône-Alpes. Une note technique et une infographie présentent les résultats de cette enquête sur leur ressenti sur la GEMAPI, les éléments de blocage et les leviers pour la mettre en oeuvre sur les territoires.

Vous trouverez donc les résultats de cette étude sous la forme d’une note technique et d’une infographie.

Plus d’informations sur le site de l’ARRA².

Adaptation au changement climatique : l’agence de l’eau lance 6 appels à projets – juillet 2019

Les conclusions des Assises de l’eau mettent en évidence la nécessité de promouvoir les économies d’eau dans tous les domaines, de désimperméabiliser les sols et de recourir aux solutions fondées sur la nature. En réponse, l’agence de l’eau programme un ensemble de 6 appels à projets d’ici à 2024 afin d’accompagner les territoires dans l’adaptation au changement climatique. Les deux premiers appels à projets, lancés dès cette année, portent sur :

1. la végétalisation des cours d’écoles, collèges, lycées et universités

Cet appel à projets vise à soutenir les projets de désimperméabilisation et de végétalisation pour gérer les eaux de pluie en milieu scolaire en intégrant un volet pédagogique sur le cycle de l’eau. L’agence y consacre une enveloppe de 5 millions d’euros. Dépôt des dossiers du 1er juillet 2019 au 15 septembre 2020 sur www.eaurmc.fr/verdureetpluie

2. les dispositifs économes en eau potable

Cet appel à projets vise les collectivités, les bailleurs sociaux et les structures collectives qui portent une démarche globale de réduction de la consommation d’eau potable (dispositifs hydro-économes, toilettes sèches, réduction de l’arrosage des espaces verts…). Il bénéficie d’une enveloppe d’aides de 2 millions d’euros.
Dépôt des dossiers du 1er novembre 2019 au 15 juillet 2020
sur www.eaurmc.fr/economies-deau

L’agence de l’eau attribuera jusqu’à 70 % d’aides financières aux maîtres d’ouvrages.

Appel à communications – Congrès de Maîtrise des Risques et Sûreté de fonctionnement, Lambda Mu 22

LES RISQUES AU CŒUR DES TRANSITIONS

Le 22ème congrès de maîtrise des risques et de sûreté de fonctionnement (Lambda Mu) organisé par l’IMdR se tiendra au Havre du 12 au 15 octobre 2020, sur le thème :

« Les risques au cœur des transitions »

Nous vous invitons à nous adresser à partir du 3 septembre prochain et avant le 16 décembre 2019 vos propositions de communications, conformément aux orientations données par le Président du comité de programme, M. Pierre-Etienne LABEAU (Université Libre de Bruxelles) dans l’appel à communications que vous pouvez consulter et télécharger en cliquant ici.

Le site internet de l’IMdR (www.imdr.eu) apporte toutes les informations utiles sur le congrès, à ce jour.

Nous sommes à votre disposition pour toute information supplémentaire (congres.lambda-mu@imdr.eu) et vous souhaitons une bonne réception de notre appel à communications que nous vous sommes reconnaissants de transférer à vos collaborateurs et à vos réseaux susceptibles d’être intéressés.

Dans l’attente du plaisir de recevoir une (ou plusieurs) proposition(s) de communications de votre part, nous vous adressons nos plus cordiales salutations.

Appel à communications

loi

Plans de prévention des risques naturels (PPRN) : un décret grave dans le marbre la qualification des aléas inondation et submersion marine

Jusqu’ici, la doctrine de mise en pratique de ces derniers, notamment les principes de détermination de l’évènement de référence dimensionnant le zonage réglementaire pour les risques d’inondation et de submersion marine, reposait exclusivement sur des circulaires et des guides nationaux sans force contraignante, au risque de générer des disparités de traitement géographique et des contentieux.

Le décret – accompagné d’un arrêté d’application – visant à intégrer, au sein du code de l’environnement, des dispositions particulières aux plans de prévention des risques naturels (PPRN) prévisibles pour les aléas “débordement de cours d’eau” et “submersion marine” est paru au Journal officiel ce 7 juillet. Les articles R. 562-1 à 11 du code de l’environnement fixent le périmètre ainsi que les modalités et les procédures d’élaboration du PPRN, servitude d’utilité publique annexée au plan local d’urbanisme (PLU), qui constitue aujourd’hui l’outil central pour la prise en compte des risques naturels dans les politiques d’aménagement, afin de réduire la vulnérabilité des personnes et des biens. Toutefois, “ces articles n’encadrent pas la manière dont est déterminé l’aléa de référence, ni les modalités amenant au choix des zones inconstructibles qui étaient jusqu’à présent décrits uniquement dans des circulaires et des guides”, relève le ministère de la Transition écologique.
C’est donc l’objet du présent décret de compléter le cadre juridique existant en abordant notamment la gestion des espaces situés derrière les ouvrages de protection contre les inondations liées au débordement des cours d’eau et les submersions marines. La caractérisation de l’aléa de référence – représenté de manière cartographique selon quatre niveaux  “faible”, “modéré”, “fort” et “très fort” – tient désormais compte à la fois du critère de la “hauteur d’eau” mais aussi du critère “dynamique de l’inondation” lié à la combinaison de la vitesse d’écoulement de l’eau et de la vitesse de montée des eaux.

Bandes de précaution

Le décret introduit par ailleurs dans la réglementation la notion de “bandes de précaution” inconstructibles situées derrière les digues (jusqu’ici applicable aux seuls ouvrages de protection contre le risque de submersion rapide), dont la définition est renvoyée à l’arrêté technique l’accompagnant. La largeur de cette bande de précaution est égale à cent fois la différence entre la hauteur d’eau maximale qui serait atteinte à l’amont de l’ouvrage du fait de la survenance de l’aléa de référence et le terrain naturel immédiatement derrière lui, sans pouvoir être inférieure à 50 m.
Comme souligné par plusieurs collectivités territoriales, lors de la consultation des projets de texte, cela peut être très contraignant sur des tronçons de digue dont la hauteur est très modeste, ce qui arrive par exemple fréquemment dans les zones urbanisées dans le delta du Rhône. Dans pareil hypothèse, en cas de surverse ou de rupture de l’ouvrage, l’effet de vague, de nature à mettre en danger les personnes, est relativement faible, et l’aléa peut ne pas être considéré comme très fort, et ce assez rapidement à mesure que l’on s’éloigne de l’ouvrage. La version finale du texte tient compte de ce paramètre. Lorsque les hauteurs de digue sont inférieures ou égales à 1,5 mètre, la bande de sécurité pourra en conséquence être réduite à 10 m.
La Fédération nationale des collectivités concédantes et régies (FNCCR) s’est par ailleurs opposée à la disposition (modifiant l’article R. 562-15) fixant des prescriptions supplémentaires pour la protection des systèmes d’endiguement.  Au regard des contraintes de gestion importantes en découlant pour les collectivités, la fédération a estimé “en l’état, l’approche insuffisamment approfondie” et demandé son retrait  “le temps de la réécrire”. L’objectif de cet article était d’obliger le gestionnaire du système à informer les communes concernées des modifications envisagées ayant notamment, une incidence sur le niveau de protection ou l’étendue de la zone protégée. Ce point crucial ne peut, selon la FNCCR, être introduit sans une analyse précise des moyens d’articuler le PPRN avec les systèmes d’endiguement présents et leurs évolutions, en particulier lorsque la gestion des systèmes est confiée à un autre organisme que celui en charge de la compétence urbanisme. “Cela augure de relations très tendues entre gestionnaire de la digue (qui souhaitera régulariser la situation dans les plus brefs délais pour se couvrir juridiquement) et l’autorité en charge de l’urbanisme qui stoppe complètement le potentiel d’évolution d’une zone (qui peut regrouper l’hyper centre de la collectivité)”, soulève la fédération.

Dérogations en zones inconstructibles

Autre élément important, le texte introduit des exceptions au principe d’inconstructibilité (nouveaux articles R. 562-11-7 et R. 562-11-8). Le secteur concerné par la demande d’exception doit notamment être “porteur d’un projet d’aménagement essentiel pour le bassin de vie”. Pour bénéficier d’une telle exception, une demande doit être adressée au préfet, dans le cadre de la procédure d’élaboration ou de révision du PPRN. Il est en outre indiqué que dans les zones non urbanisées, la réalisation d’une construction devra être compensée par une démolition dans une zone d’aléa de référence plus important.
Sans plus de précision, le texte ouvre également le champ des dérogations, prévu par le règlement du PPRN, à certains “types de construction”, qui ne sauraient dans tous les cas, ni avoir pour vocation d’accueillir des personnes vulnérables ni être des lieux de sommeil.
Le Conseil national d’évaluation des normes (CNEN) s’était inquiété, en novembre dernier,  “de l’absence de définition juridique de certaines notions figurant dans le projet de décret (centres urbains, zones urbanisées en dehors des centres urbains, dents creuses)” pour qualifier les limitations au droit de construire dans les zones figurant dans les PPRN, faisant valoir des risques d’interprétation divergente au regard du zonage prévu au titre du code de l’urbanisme. Visiblement un travail de réécriture à été réalisé sur ce point de façon à apporter des précisions supplémentaires et ainsi permettre un alignement des codes.

CNE – Comité national de l’eau – 25 juin 2019

La réunion du Comité national de l’eau se tiendra le mardi 25 juin de 9h30 à 13h au ministère de la transition écologique et solidaire sur le site de Défense Grande Arche paroi sud – amphithéâtre du toit de l’Arche (35ème étage)                                                                                

Les projets de textes soumis à l’avis du CNE ainsi que les documents relatifs aux autres points de l’ordre du jour vous sont transmis ci-dessous :

Vous trouverez également dans le dossier de séance le compte rendu de la réunion du 12 mars et les délibérations approuvées lors de cette séance.

Pour la bonne organisation de la réunion, nous vous remercions de nous confirmer votre participation ou de nous informer de votre absence.

Les membres du collège des collectivités territoriales et du collège des usagers qui ne pourront assister à cette réunion, ont la possibilité de se faire représenter par un membre du CNE appartenant au même collège, aucun membre ne pouvant recevoir plus de deux mandats. Les représentants du collège de l’Etat et de ses établissements publics peuvent quant à eux se faire représenter par une personne du service ou de l’organisme auquel ils appartiennent.

Accès à la paroi sud de l’Arche (entrée du ministère)
A partir de la station du RER ou du métro, empruntez la sortie 1 Grande Arche où deux escalators successifs vous mèneront à l’extérieur sur le parvis de la Défense, face à la Grande Arche.
L’accueil du ministère se trouve en haut de l’escalier monumental, sur votre gauche.
Si vous souhaitez éviter la montée des marches de l’Arche, vous pouvez en haut des escalators emprunter le couloir souterrain (signalisation : Grande Arche-ministère paroi sud) qui vous mènera à d’autres escaliers roulants permettant d’accéder à l’accueil du ministère.

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Atelier participatif – La place de l’eau dans les politiques publiques – 3 juillet 2019

20 collectivités, 6 partenaires publics et 7 établissements de recherche se sont engagés sur la voie des territoires « Eau-Responsables » en signant les principes établis par l’Association internationale de l’eau (IWA)L’objectif de cette démarche est de fédérer les décideurs des collectivités de la région Auvergne-Rhône-Alpes pour progresser ensemble dans la mise en œuvre des politiques, des stratégies et des réponses techniques pour une eau urbaine durable.

La première rencontre des signataires, mercredi 3 juillet, est un atelier participatif avec pour thème “la place de l’eau dans les politiques publiques”. C’est pour les autres collectivités une opportunité de les rejoindre en signant les principes à cette occasion !

Pour en savoir plus sur l’atelier, télécharger le programme et vous inscrire : cliquez ici !

entente oise aisne

Entente Oise Aisne : le rapport d’activité 2018 est paru !

Nous vous invitons à consulter le rapport d’activité 2018 de l’Entente Oise Aisne, disponible en téléchargement en cliquant ici et dans la section “documentation” du site internet de l’EPTB Oise-Aisne. Edité en ce début juin, il dresse le bilan d’une année particulièrement chargée au regard de la période transitoire de la GEMAPI : bilan des adhésions, nouvelle gouvernance, ouvrages transférés, évolution des métiers de l’Entente, avancement des travaux du barrage de Montigny-sous-Marle, élaboration du PAPI d’intention dans la vallée de l’Oise… Ce rapport permettra à chacun de bien appréhender le rôle de l’Entente et de mieux connaître la structure.

N’hésitez pas à parcourir également le fonds documentaire particulièrement fourni : les différentes parutions et les études par unité hydrographique ou encore par projet sont en téléchargement libre.

CNE – Comité national de l’eau – 14 mai 2019 – Retour sur la réunion de la Commission de suivi hydrologique du CNE du mardi 14 mai

Annoncée par un communiqué de presse le 3 mai 2019,  la Commission de suivi hydrologique du CNE s’est réunie le mardi 14 mai 2019 pour faire le point sur la situation hydrologique.

La réunion a été introduite par Emmanuelle Wargon, secrétaire d’Etat auprès du ministre d’Etat, ministre de la Transition écologique et solidaire et présidée par Jean Launay. Elle a permis de faire le point sur la situation hydrologique dans les bassins et de prendre un temps d’échange sur l’organisation de la gestion de crise.

Vous trouverez en document joint, pour votre information, la présentation à laquelle de nombreux acteurs ont contribué.

CNE – Comité national de l’eau – Commission réglementation – 12 juin 2019

La commission de la réglementation du Comité National de l’Eau se tiendra le mercredi 12 juin de 14h à 17h au ministère de la Transition écologique et solidaire (La Défense – Tour Séquoïa –  salle 25A). L’AFEPTB/ANEB y participera.

Retrouvez l’invitation et l’ordre du jour de la réunion en cliquant ici !

Retrouvez également ci-dessous le “dossier participant” qui comprend les projets de textes qui seront soumis à l’avis du Comité national de l’eau lors de sa séance plénière du 25 juin :

 

Syndicats intercommunaux et syndicats mixtes fermés : qui peut siéger en 2020 ?

A partir de 2020, qui pourra siéger dans un syndicat intercommunal ? Dans un syndicat mixte fermé ?

Ces règles seront-elles les mêmes pour les délégués des communes ? Pour ceux des communautés et des métropoles ?

Avec quelles indemnités de fonctions ?

Comment s’adapter à ces nouvelles règles ?

A toutes ces questions, Yann Landot et Eric Landot répondent par une brève vidéo :

[Vidéo] Repenser l’eau dans la ville

L’aménagement urbain, qui accroît les surfaces imperméabilisées, est à l’origine de la transformation voire d’une disparition du milieu naturel.

Présentant les pistes pour concilier Eau et Urbanisme, ce film vise à sensibiliser les élus et citoyens à la préservation de l’eau dans l’aménagement du territoire.

CNE – Comité national de l’eau – Commission de suivi hydrologique – 14 mai 2019

Face au risque de sécheresse, François de Rugy et Emmanuelle Wargon réuniront la commission de suivi hydrologique du Comité national de l’eau le 14 mai 2019.

Face au risque de sécheresse, François de Rugy, ministre d’État, ministre de la Transition écologique et solidaire et Emmanuelle Wargon, secrétaire d’État auprès du ministre d’État, réuniront la commission de suivi hydrologique du Comité national de l’eau le 14 mai 2019.

L’hiver et le début de printemps ont été marqués par un manque de pluie sur une bonne partie du territoire métropolitain, ce qui a favorisé la sécheresse des sols superficiels ces trois derniers mois. La moitié des points de surveillance des nappes affiche ainsi des niveaux bas, alors qu’elles bénéficient habituellement de la recharge hivernale en cette période. Les niveaux des cours d’eau sont également majoritairement inférieurs aux moyennes saisonnières. D’après les prévisions saisonnières de Météo-France, les températures de mai à juillet sur la France métropolitaine seront par ailleurs probablement supérieures à la normale, et aucune tendance moyenne sur les prévisions de précipitations ne se dégage.

La pluviométrie des prochaines semaines sera donc déterminante mais le Gouvernement est déterminé à se préparer dès à présent à la probabilité d’une sécheresse.

Pour ce faire, le ministre et la secrétaire d’État souhaitent ainsi sensibiliser tous les usagers de l’eau (secteurs agricole et  industriel, collectivités et grand public) à la situation actuelle et les inciter à une gestion économe de la ressource en eau, d’autant plus dans le contexte du dérèglement climatique où la fréquence et l’intensité des sécheresses vont augmenter dans les prochaines décennies. Ils réuniront ainsi la commission de suivi hydrologique du Comité national de l’eau, lieu d’échange et d’information sur la gestion de la ressource en eau, l’anticipation des crises et la gestion des conséquences de la sécheresse sur les différents usages de l’eau et sur les milieux naturels, qui recueille les avis et propositions des différents acteurs concernés et coordonne les actions nationales, notamment de communication.

Les Assises de l’eau lancées par le Gouvernement par ailleurs en cours rassemblent les acteurs du monde de l’eau afin de trouver des solutions concrètes qui permettront aux territoires d’assurer une gestion durable de la ressource en eau, dans ses composantes écologique et socio-économique.

Localement, les préfets réuniront prochainement dans les départements concernés les comités départementaux « sécheresse » afin d’échanger sur cette situation avec les parties prenantes.

Pour en savoir plus sur la gestion de la sécheresse : https://www.ecologique-solidaire.gouv.fr/gerer-secheresse

Pour accéder au bulletin de suivi hydrologique : https://www.eaufrance.fr/publications/bsh

Site de MétéoFrance : http://www.meteofrance.com/accueil/previsions-saisonnieres

Pour suivre les arrêtés sécheresse : http://propluvia.developpement-durable.gouv.fr/propluvia/faces/index.jsp