JMZH 2021 – Labellisez vos animations !

du 30 janvier au 28 février

Chaque année, la Journée mondiale des zones humides (JMZH) est célébrée le 2 février, pour commémorer la signature de la Convention sur les zones humides, le 2 février 1971, dans la ville iranienne de Ramsar.

2021 : l’année de l’Eau et des Zones Humides

Inondations, sécheresse, dégradation de la qualité des eaux : les zones humides jouent un rôle majeur pour l’atténuation de ces phénomènes et l’adaptation au changement climatique!

Labellisez vos animations

Organisateurs d’animations, pensez à les enregistrer depuis l’espace Organisateurs du portail Zones Humides

Elles seront ainsi répertoriées et seront facilement visibles par tous depuis l’espace visiteurs

Communiquez sur vos animations

Pour parler de vos animations, la coordination nationale française de la JMZH met à votre disposition l’affiche officielle de la Journée mondiale des zones humides, développée par le secrétariat de la Convention de Ramsar et adaptée au contexte français.

Retrouvez également un visuel pour signer vos emails et une série de vignettes et d’animations GIF pour les réseaux sociaux sur le portail Zones Humides

Découvrez également le dossier de presse JMZH 2021


Toutes les informations :


Plus nous serons nombreux à participer et à proposer des animations, et plus cet évènement pour la préservation des zones humides s’inscrira dans l’esprit de chacun.

Au final, ce sont les zones humides qui y gagnent !

Lutter contre les pollutions plastiques en milieux naturels

Inscriptions avant le 29 janvier 2021 au lien suivant : en cliquant ici.

La matinée du 11/02 sera dédiée à la présentation du contexte et des outils à votre disposition en région. Un avocat spécialiste des dépôts sauvages sera également présent pour répondre à vos questions d’ordre juridique.

La matinée du 18/02 sera dédiée à la présentation de retours d’expériences de membres du RREN et du RRGMA déjà engagés sur le sujet(*), notamment en ce qui concerne :

  • la caractérisation des pollutions et leur impact de la montagne à la mer,
  • l’intégration de la problématique dans la stratégie globale de gestion des milieux,
  • la limitation des pollutions plastiques issues du pluvial et du ruissellement,
  • l’incitation à l’engagement des professionnels des secteurs économiques à enjeux dans la réduction de ces pollutions,
  • l’intégration de la problématique des pollutions plastiques dans les actions de prévention des inondations pour favoriser le bon écoulement des eaux,
  • l’intégration de la problématique des pollutions plastiques dans les marchés de travaux et d’entretien des milieux naturels et aquatiques.

(*)Les interventions étant en cours de validation, ce programme pourra être quelque peu modifié.

Appel à projets “Restaurer les continuités écologiques dans les cours d’eau de Nouvelle-Aquitaine”

L’appel à projets est destiné aux communes, Etablissements Publics de Coopération Intercommunale, acteurs privés ou aux associations propriétaires de barrages, seuils ou infrastructures transversales impactant la libre circulation d’ « espèces cibles ».

Deux échéances pour le dépôt des dossiers :

  • 31 mars 2021
  • 30 juin 2021

Seront sélectionnés en priorité les projets d’équipement et/ou d’effacement d’ouvrages sur les cours d’eau à enjeux relevant :

  • de la politique « apaisée » de restauration de la continuité écologique (plan d’action Ministère TES du 20 juin 2018) pour les espèces amphihalines (saumons, aloses, lamproie, anguilles…)
  • des axes de « têtes de bassin versant » relevant des listes 1 et 2 du classement des cours d’eau souvent caractérisés par des milieux aquatiques de bonne qualité, fréquentés notamment par la truite fario ou la moule perlière.

Les Etablissements Publics Territoriaux de Bassin (EPTB) de Nouvelle Aquitaine, acteurs majeurs de la gestion intégrée de l’eau à l’échelle de bassin hydrographique, seront mobilisés pour relayer et diffuser l’information auprès des propriétaires d’ouvrages.

Toutes les informations sur le site de la Région Nouvelle-Aquitaine.

Webinaire RIOB – Dialogue ville-bassin pour l’adaptation au changement climatique

Approches française et mexicaine

de 16h00 à 18h00

En ligne, sur la plateforme Zoom, avec interprétariat Français-Espagnol

formulaire d’inscription

A travers l’exemple d’une coopération franco-mexicaine établie depuis 2015 entre les métropoles de Paris et de la ville de Mexico, ce webinaire a pour objectif d’assurer un échange d’expériences sur les bonnes pratiques de coordination entre ville et bassin pour l’adaptation au changement climatique. 

Toutes les informations sur le site du RIOB

CONTEXTE :
Il y a cinq ans, le Secrétariat mexicain de l’Environnement et des Ressources Naturelles (SEMARNAT) et le Ministère français de l’Ecologie (aujourd’hui Ministère de la transition écologique) ont signé, en marge de la COP21 (2 Décembre 2015, Paris), un accord de coopération sur la gestion des ressources en eau et l’adaptation au changement climatique.


Depuis 2016, sa mise en œuvre est assurée par l’OiEau à travers le projet d’appui à la Commission Métropolitaine pour le Drainage de la Vallée de Mexico. Ce projet vise le renfort du système de drainage des eaux usées et pluviales de la mégalopole de Mexico. Une meilleure coordination de ses principaux acteurs (Commission nationale de l’eau –CONAGUA, Organisme de bassin de la vallée de Mexico –OCAVM, Société d’Eau de la Ville de Mexico –SACMEX, Commission de l’Eau de l’Etat de Mexico –CAEM) est attendue afin d’améliorer le fonctionnement de ce système par temps de pluie mais aussi afin de prévenir les inondations qui affectent régulièrement la capitale mexicaine et ses 22 millions d’habitants.

Parution de la revue Pour mémoire

Les Ministères de la Transition écologique, de la Cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales, de la Mer publient le 21e numéro de la revue du comité d’Histoire Pour mémoire sur le thème des catastrophes naturelles (automne 2020).

Au sein de cet ouvrage, prend place l’article de Régis Thépot sur “La genèse des établissements publics territoriaux de bassin et la politique de prévention des risques naturels” (p. 65).

A découvrir ici !

Commission spécialisée du CNTE, 19 novembre 2020

L’ANEB, membre de la commission spécialisée du CNTE, a assisté à la dernière réunion de la commission, qui était dédiée à l’orientation de l’action de l’ONERC.

Vous retrouverez ci-joint le support de présentation et le relevé de conclusions de la réunion.

e-Colloque Risque Ruissellement de la SHF et l’ANEB

L’attribut alt de cette image est vide, son nom de fichier est Associes2.png.

Un colloque en ligne et sa plateforme de ressources et d’échanges dédiée

La plateforme du e-Colloque reste accessible pour les mois à venir et permet d’accéder aux Replay des sessions, aux articles scientifiques, aux posters et aux pitch des auteurs et, très prochainement, aux actes du colloque.

Les outils de Networking permettent également de prendre contact ou poursuivre les échanges avec les participants et intervenants.

Vous n’avez pas pu participer au e-Colloque mais souhaitez accéder à la plateforme ? Contacter l’ANEB.

En savoir plus sur le e-colloque Risque Ruissellement.

CNE – Comité national de l’eau – 10 décembre 2020

L’ANEB, représentée par son Président, Monsieur Lenglet, était présente au Conseil National de l’Eau qui s’est déroulé le 10 décembre dernier.

Vous retrouverez ci-joint l’ensemble des éléments transmis.

ag

ANEB – Bilan de l’AG statutaire

L’assemblée Générale statutaire de l’ANEB s’est déroulée en visioconférence le mercredi 2 décembre, juste après l’assemblée générale ordinaire , de 16h00 à 17h00.

Vous pouvez dés à présent consulter le relevé de décision en pièce-jointe de cet article.

Retrouver toutes les informations relatives à l’AG 2020 sur sa page dédiée : Assemblée générale 2020 de l’ANEB

Réunion du GPIGe – 17 déc. 2020

Le compte-rendu de la réunion est disponible.

Document associé : https://bassinversant.org/wp-content/uploads/2020/12/GPIGe_2020_12_CR_REU.pdf

Les points suivants ont été abordés :

  • Rapportage : Référentiel masses d’eau et généalogie
    (A. Blard-Zakar / L. Debray, pour avis)

Document associé : https://bassinversant.org/wp-content/uploads/2020/12/GPIGE_VEDL2019_avancement.pdf

  • Proposition de maquette de Plateforme de contrôle des jeux de données géographiques par les producteurs
    (D. Viglietti, pour avis)

Document associé : https://bassinversant.org/wp-content/uploads/2020/12/Maquette_ctrl.pdf

  • BD Topage : scénario d’échange, avancement, perspectives
    (B. Freidman / T. Lallemant / L. Breton, Information/ Avis)

Documents associés :
https://bassinversant.org/wp-content/uploads/2020/12/sandre_scenario_geo_topage_v2019beta1.pdf
https://bassinversant.org/wp-content/uploads/2020/12/BD_Topage_Dec2020.pdf

Une information à consulter dans la présentation de la BD Topage : le nouveau site de téléchargement IGN sera lancé au 1er trimestre 2021. Les BD Topo, BD Ortho, BD Forêt, RGE Alti devraient être accessibles en licence ouverte Etalab 2.0 (sous réserve d’évolution).

Pour retrouver toutes les réunions du GPIGe, cliquez-ici

[Vidéo] La réhabilitation des petites rivières urbaines : REX sur des projets multi-bénéfices

Le 4 novembre 2020, l’Astee et idealCO ont coorganisé une webconférence sur la réhabilitation des petites rivières urbaines. Les productions du groupe de travail « Réhabilitation des petites rivières urbaines » de l’Astee, réalisées avec le soutien de l’Office français de la biodiversité (OFB) et de son Centre de ressources Cours d’Eau, ont été présentées à cette occasion ainsi que quatre retours d’expériences sur les opérations suivantes : Le Petit Rosne à Sarcelles ; L’Yzeron à Oullins ; L’Huveaune à Auriol ; L’Espace nature départemental du Plan sur les communes de La Garde et du Pradet (Département du Var).

Voir la vidéo

ag

L’ANEB rédige son « Livre Bleu » : une première séance de travail lors de son Assemblée générale 2020

Vers une gestion publique de l’eau renforcée
par bassin versant

L’assemblée Générale de l’ANEB – partie publique – s’est déroulée le mercredi 2 décembre, en visioconférence, de 14h00 à 16h00 et a permis de faire un point d’étape sur des études en cours qui alimenteront le LIVRE BLEU sur notre modèle de gestion de l’eau par bassin en France.

Vous pouvez dés à présent consulter l’ordre du jour de l’AG, son déroulé, et les présentations des interventions en pièces-jointes de cet article.

Retrouver toutes les informations relatives à l’AG 2020 sur sa page dédiée : Assemblée générale de l’ANEB 2020


Notre congrès, initialement prévu les 1er et 2 décembre 2020 à LYON, est reporté en 2021. Néanmoins, il nous a semblé important de garder un temps d’échanges autour des principes d’organisation qui structurent la politique de l’eau en France, en particulier la gestion par bassin.

Les enjeux d’une gestion équilibrée, durable et intégrée de l’eau deviennent particulièrement prégnants. Nous devons plus que jamais anticiper les évolutions, et parvenir à une organisation lisible, efficace et pérenne qui permette l’équité en terme d’accès à la ressource, la réduction des impacts négatifs des inondations et des étiages et sécheresses, un aménagement plus favorable à la préservation et même au développement de la biodiversité.

C’est pourquoi, dans une démarche de co-construction axée sur les facteurs de réussites d’une politique de l’eau par bassin permettant équité, solidarité, développement territorial durable, l’ANEB a engagé la rédaction d’un Livre bleu qui vise à partager les enjeux et les leviers pour la renforcer et la pérenniser.



Contact : Catherine Gremillet, directrice
aneb@bassinversant.org

Enquête de la MIIAM

La Mission Interrégionale “Inondation Arc Méditerranéen” (MIIAM) lance une étude visant à évaluer la faisabilité et l’intérêt de l’utilisation de la réalité virtuelle et de la réalité augmentée dans la prévention des inondations.
Dans ce cadre, elle lance une enquête dont l’objectif principal est d’évaluer les attentes  des gestionnaires de risque concernant ce sujet.
Nous vous remercions par avance pour l’intérêt que vous porterez à cette action et pour les quelques minutes (5 à 10 min maximum) que vous y consacrerez !

Les réponses attendues pour le 15 janvier 2021 au plus tard.

Voir le questionnaire sur : Enquête sur les attentes des gestionnaires de risques en matière d’utilisation de la réalité virtuelle pour la prévention des inondations.

Zones Humides – les 10 messages clés

Suite à la dernière évaluation nationale des sites humides emblématiques de France, le Ministère de la Transition Ecologique a publié une infographie sur les 10 messages clés à retenir.

Sur les 223 sites emblématiques Français, l’évaluation a porté sur 189 sites (161 en métropole et 28 en outre-mer :

  • 41 % des sites présentent des milieux qui se sont dégradés entre 2010 et 2020
  • en France, 69% des sites sont concernés par des perturbations du milieu physique (57% par une modification de la gestion en eau et 54% par une altération de la qualité de l’eau et des pollutions) entre 2010 et 2020
  • 62 % des sites n’assurent plus les services qu’ils étaient à l’origine susceptible de rendre en 2020
  • les référents estiment que 25 % des sites ont un avenir favorable et 51 % un avenir incertain à l’horizon 2030

Visualiser l’infographie

Consultez le Datalab – Quelle évolution des sites humides emblématiques entre 2010 et 2020 ?

En savoir plus sur l’évaluation nationale sur le site du Ministère de la Transition Ecologique

[Vidéo] Restauration Huveaune – Parc confluence : Présentation des travaux

Avant les travaux (entrepris dans le cadre des plans d’action du PAPI et du contrat de Rivière du Bassin Versant), l’Huveaune est un cours d’eau peu visible et dégradé.

Après travaux, le cours d’eau est redevenu visible dans le paysage grâce à des aménagements qui répondent à plusieurs problématiques :

  • réduction du risque inondation (création d’une zone d’expansion des crues),
  • renaturation des milieux aquatiques (création d’une zone humide, adoucissement des berges),
  • amélioration du cadre de vie (création d’une voie verte…).

En Automne 2019, lors d’une crue proche de la décennale, les nouveaux aménagements ont pleinement joué leur rôle de protection des riverains.

Cette vidéo insiste également sur l’importance du suivi sur un site en constante évolution avec des travaux d’ajustements sur plusieurs années.

Voir la vidéo

Consulter le site du SMBVH

Base de données photographiques IGN de zones sinistrées

Un avion de l’IGN a survolé les zones sinistrées par la tempête Alex d’octobre 2020 (Alpes-Maritimes) pour effectuer des prises de vues aériennes très haute résolution. L’IGN met à disposition les plus de 2 000 images captées, d’une importance majeure dans l’évaluation des dégâts et la reconstruction sur place.

Cliquez sur l’image pour atteindre la plateforme.

Plateforme Géorisques

L’ANEB participe à la présentation du Portail Géorisque (MTE-BRGM) qui a fait l’objet en 2020 d’une refonte ergonomique destinée à améliorer l’accès à l’information sur les risques.

Cliquez sur l’image pour atteindre la plateforme.

Tribune de l’ANEB : L’eau ne coule plus de source

Encore un été à sec dans la plus grande partie de la France ! Combien d’autres épisodes comme celui-ci devrons-nous encore traverser pour mettre à jour notre logiciel en termes de gouvernance et de financement de la gestion de l’eau ? Force est de constater que les responsabilités respectives de l’Etat et des collectivités en la matière restent floues et que les organisations pérennes à l’échelle adaptée, celle du bassin hydrographique, ne sont pas abouties. Il nous faut rapidement mettre en place un cadre clair permettant d’assurer l’intérêt général tout en accompagnant les projets spécifiques à chaque territoire.

Un défaut de gouvernance à l’origine de conflits d’usage

La dernière étape de décentralisation en matière de gestion de l’eau, confiant notamment la compétence de « gestion des milieux aquatiques et de prévention des inondations (GEMAPI) » aux instances intercommunales, ne suffit pas pour assurer une gestion équilibrée, durable et intégrée de l’eau sur tous les territoires. Elle peut même, si elle n’est pas complétée, induire des conflits d’usages de plus en plus nombreux, des fractures territoriales de plus en plus difficiles à combler. L’approvisionnement en eau potable est déjà menacé dans certaines régions.
Malgré quelques évolutions répondant aux récents rapports (« BISCH » en mai 2018, retour d’expérience sur la gestion de la sécheresse 2019 du CGEDD, information de l’Assemblée nationale sur la gestion des conflits d’usage en situation de pénurie en juin 2020), l’application de la réglementation reste insuffisamment contrôlée et n’est pas toujours assurée en synergie avec les objectifs territoriaux.
On manque de propositions concrètes pour lever les difficultés récurrentes rencontrées dans la mise en place réelle des projets de territoires : connaissance, méthode de définition des objectifs et des actions, maîtrise d’ouvrage et financement des actions…
Si l’anticipation de la gestion des crises liées à la sécheresse est fondamentale, seule une gestion globale et pérenne de l’eau, de ses usages mais également des risques liés, peut permettre d’assurer un développement apaisé et durable des territoires.

Des solutions pour assurer l’intérêt général et renforcer les actions locales

Les freins sont connus mais les solutions pour les lever ne sont pas partagées. L’ANEB défend la mise en place d’un cadre national d’organisation à la fois homogène sur les principes généraux et adaptable aux contextes locaux en matière d’actions, seule manière d’assurer l’intérêt général ainsi que les solidarités amont/aval et urbain/rural sur tout le territoire tout en s’appuyant sur les dynamiques des acteurs locaux. Appliqué à l’échelle des enjeux, celle des fleuves, des grandes rivières ou groupements de rivière, ce cadre devrait assurer l’organisation et le financement pérenne de :

  • L’expertise globale (scientifique, technique et opérationnelle) associant toutes les parties prenantes disposant de données et de connaissances (citoyens, acteurs privés, recherche …).
  • La définition d’objectifs et de programmes d’actions partagés avec des méthodes de co-construction précises et validées.
  • La définition de projets d’aménagement d’intérêt commun avec une maîtrise d’ouvrage publique portée par des Etablissements Publics Territoriaux de Bassin (EPTB).

La place des collectivités, notamment des EPTB, et de l’Etat (Agences de l’eau, Office français de la biodiversité, Etat central et déconcentré, établissements publics – CEREMA, BRGM…) dans ces actions doit être précisée pour améliorer l’articulation de leurs responsabilités respectives. Dans ce cadre réaffirmé, le choix des actions et des modalités de leur accompagnement doit être plus libre pour s’adapter à chaque contexte. Il est indispensable d’accompagner les « bonnes pratiques et bons projets » visant à développer des systèmes agricoles et les activités moins dépendants de la ressource, à réduire les ruissellements, à favoriser l’infiltration et la recharge des nappes, à optimiser techniquement l’utilisation de la ressource en eau…

Et si nous nous appuyions sur ce qui fonctionne déjà ?

La France a été pionnière dans le déploiement de la gestion par bassin et nous ne pouvons que nous en féliciter. Nous ne partons pas de rien : il s’agit d’identifier les bonnes pratiques « de bassin » à généraliser dans le cadre national ou à partager pour un déploiement de projets locaux vertueux.

L’amélioration de la gouvernance et du financement de la gestion de l’eau peuvent constituer une excellente source d’inspiration pour un nouvel acte de décentralisation axé sur une meilleure différenciation territoriale, alliant enjeux nationaux et intérêts locaux.