Type d’offre : CDD (36 mois renouvelable) Localisation : Champagne-Ardenne Société : PNR de la Montagne de Reims
Prise de fonction : mars 2025
Sous la responsabilité de la responsable du pôle « Milieux Naturels », le/la futur(e) technicien(ne) zones humides contribuera aux missions principales du Programme d’Actions zones humides :
Animation territoriale pour faire émerger et organiser de nouveaux projets :Poursuivre la précision de l’inventaire et la délimitation des zones humides du Parc,
Suivi de l’évolution des milieux humides.
Gestion des zones humides à partir de plans de gestion
Elaboration, évaluation et actualisation de PdG
Suivi de la programmation des travaux de restauration ou d’entretien
Suivi, coordination et réalisation des inventaires faune/flore prévus dans les plans de gestion
Réalisation du volet habitats des pré-diagnostics zones humides dans le cadre de la révision de documents d’urbanisme ou des projets de développement des EnR,
Actions de sensibilisation, de formation, de communication et d’information notamment dans le cadre d’une campagne de sensibilisation des élus ou des 50 ans du parc
Poursuite de l’accompagnement de collectivités, porteurs de projets, agriculteurs, forestiers et des partenariats avec les syndicats de rivières
Elaboration de documents administratifs et financiers en lien avec le programme d’actions de l’Agence de l’Eau
Pour postuler
Si ce projet vous intéresse nous vous proposons de nous faire parvenir CV/LM à l’adresse mail suivante : contact@parc-montagnedereims.fr à l’attention de Mme La Présidente.
Le concours « Capitale française de la Biodiversité » a pour objectif d’identifier, valoriser et diffuser les bonnes pratiques des collectivités en faveur de la biodiversité, et d’élire les meilleures collectivités au vu du thème de l’année, dont la « Capitale française de la Biodiversité » pour 2025.
L’édition 2025 est désormais ouverte à toutes les communes, communautés de communes, communautés urbaines ou d’agglomération et métropoles françaises, ainsi qu’aux établissements publics territoriaux de la métropole du Grand Paris, qu’elle soient héxagonales ou ultramarines.
14 h 05 – Mot d’accueil et actualité nationale de la prévention des risques d’inondation (DGPR/SRN)
14 h 30 – Présentation de la commission du fonds de prévention des risques naturels majeurs du COPRNM
14 h 40 – Présentation des évolutions de la foire aux questions consacrée à la GEMAPI
14 h 55 – Présentation des premiers livrables du groupe de travail n° 1 : « Expertiser les outils de la prévention et suivre leur mise en œuvre » et échanges
15 h 15 – Présentation de l’avancement du groupe de travail n° 4 : « Suivre la mise en œuvre de la directive inondation » et échanges
15 h 35 – Présentation de l’avancement du groupe de travail n° 6 : « Améliorer l’expertise sur les outils de financement de la politique de prévention des inondations, sans doublonner le rôle du COPRNM » et échanges
15 h 55 – Présentation du bilan et des perspectives des groupes de travail
16 h 10 – Bilan de la feuille de route 2023 – 2024 et préparation, calendrier de la feuille de route 2025 – 2026
Nous devions tenir notre Congrès 2024 du 16 au 18 décembre prochain à Mont-de-Marsan.
Les tensions locales entre agriculture et gestion de l’eau génèrent des projets d’actions syndicales agricoles qui nuiront grandement à la nécessaire sérénité de nos échanges.
Aussi et dans un soucis d’apaisement, en accord avec nos hôtes de l’Adour, il a été préféré le report de notre rencontre.
Conscients des désagréments et de la gêne occasionnés, nous faisons appel à votre compréhension et vous prions d’accepter nos excuses.
Nous vous informerons dès que possible de la reprogrammation des travaux prévus lors de ce congrès.
Rattaché au service « Stratégies, animation et gestion des milieux aquatiques », le stage porte sur le diagnostic du réseau hydraulique sur le territoire de la Métropole Rouen Normandie (76). Ce diagnostic s’intègre dans les phases 1 et 2 du PPMHA en cours d’élaboration sur ce territoire et sera composé de différentes phases :
État des connaissances :
S’imprégner du contexte environnemental de la vallée de la Seine
S’imprégner de la méthodologie des PPMHA
Se familiariser avec les réseaux hydrauliques (usages, enjeux…) et la méthode de diagnostic
Réaliser un bilan des acteurs qui interviennent sur les réseaux hydrauliques et des actions menées
Réaliser un bilan des inventaires existants (années de réalisation, exploitabilité des données, lacunes…)
S’imprégner du projet CONNECT (2024-2025) porté par le GIP Seine Aval qui vise à mieux comprendre comment s’opèrent les échanges hydrauliques entre les lit mineur et majeur de la Seine
Diagnostic :
Réseau hydraulique :
Pré-localiser sur SIG les réseaux hydrauliques: fossés de drainage, fossés de récupération des eaux de pluies, petits affluents…
Caractériser et cartographier sur le terrain les réseaux hydrauliques (méthodologie du PNR des Boucles de la Seine Normande)
Identifier les altérations
Caractériser et diagnostiquer d’un point de vue écologique les différents points de jonction entre les réseaux hydrauliques et la Seine
Pointer les espèces végétales patrimoniales/exotiques envahissantes, arbres remarquables, mares…
Analyse d’impact :
Analyser l’impact du réseau hydraulique sur les zones humides
Analyser le rôle des réseaux hydrauliques sur la continuité écologique
Analyser l’impact des points de jonction des réseaux avec la Seine sur la continuité écologique
Rendus : rédiger un rapport qui intègrera :
Les résultats du diagnostic avec :
Les données formalisées sous forme de cartes
Des « fiches tronçons » synthétisant les informations récoltées sur le terrain ainsi que les impacts associés
Une analyse des résultats du diagnostic
Des propositions d’amélioration du protocole
Des actions de gestion et de restauration cohérentes des réseaux hydrauliques avec les enjeux présents sur le territoire (continuité écologique, biodiversité, agriculture, paysage, inondations…).
Tout au long de sa mission, le stagiaire accompagnera les agents du syndicat lors des échanges avec les partenaires.
Durée : 4 à 6 mois, à partir de février, mars ou avril 2025
Localisation : Le stagiaire sera basé au siège du Forum des marais Atlantiques, à Rochefort (17). Des déplacements sont à prévoir sur les bassins Loire-Bretagne et Adour-Garonne.
Indemnisation : selon la législation en vigueur + remboursement des frais de déplacement + tickets restaurant.
Encadrant : Nathalie BOESCH / Fabien BLANCHET pour le FMA et Christophe DUCOMMUN pour l’Institut Agro d’Angers
Profil recherché
Indispensable :
Master 1 ou Master 2 ou école d’ingénieur en hydrologie, hydrogéologie, pédologie, écologie ou autre discipline pouvant répondre aux attentes du stage.
Organisme d’accueil : CapAtlantique La Baule-Guérande Agglo
Contact : Philippe DELLA VALLE – Responsable Unité biodiversité, Direction de l’environnement – 06.69.28.75.56
Lieu de travail : Guérande (44)
Aspects pratiques : permis de conduire exigé (Véhicule de service mis à disposition mais un véhicule personnel serait un plus), stage indemnisé selon dispositions légales
Compétences naturalistes et expérience de prospections de terrains indispensables.
Bonne maitrise des SIG nécessaire, notamment du logiciel Qgis.
Connaissances de la gestion conservatoire, une expérience sur les mares serait appréciée.
Qualités humaines requises : sens de l’observation, aptitudes relationnelles, sens du contact indispensable, grande rigueur, autonomie, aptitudes rédactionnelles, de synthèse et d’analyse, esprit d’initiative et d’équipe.
Ce webinaire a pour objectif de présenter des documents de références et des outils applicables sur le bassin Seine-Normandie afin de réaliser des inventaires zones humides et de prendre en compte les zones humides dans les documents d’urbanisme. En deuxième partie de webinaire, des retours d’expériences sur le bassin Seine-Normandie viennent illustrer des éléments généraux présentés auparavant.
Le webinaire a eu lieu le 11 octobre 2024 et il a été organisé par le Forum des Marais Atlantiques.
Thème de l’année “Les zones humides pour notre avenir commun”
Pour rappel, la JMZH 2025 se déroulera en France du 1er au 28 février.
Ce thème vient rappeler l’urgence de protéger les zones humides afin d’assurer le bien-être de tous pour nous et pour les générations futures.
Ce thème est partagé par la COP 15 Ramsar qui aura lien au Zimbabwe au mois de juillet 2025.
Enregistrez vos animations (idéalement avant le 15 janvier)!
La JMZH est aussi une bonne opportunité pour valoriser les actions de tous les acteurs de la préservation des zones humides passées, présentes ou futures, auprès d’un large public : habitants, élèves, visiteurs; élus; partenaires techniques et financiers; collègues et confrères d’autres territoires …
Pour bien faire figurer les animations dans le programme national et bénéficier à plein de la communication qui sera faite autour de la JMZH, il faut idéalement inscrire les animations avant le 15 janvier ! NB : Il sera toujours possible d’inscrire vos différentes activités en zones humides après cette date.
Comme chaque année, seuls 2 critères sont à respecter : avoir lieu en février et parler des zones humides. Vous retrouverez toutes les informations utiles sur le Centre de ressources Milieux humides.
Une plateforme pour inscrire et labeliser vos animations :
Comme les deux dernières années, les animations de la JMZH sont recensées sur la plateforme J’agis pour la nature mise à disposition et animée par la Fondation pour la nature et l’Homme.
Quelques consignes générales à rappeler et à respecter
Donner un titre informatif, le moins générique possible. Évitez de nommer votre activité simplement “Journée mondiale des zones humides” sans autres précisions.
Éviter d’écrire en lettres capitales.
Choisir “Je découvre la biodiversité” pour le champ “Type d’activité” (sauf pour les chantiers nature = “Je préserve” ou “Je ramasse”)
Bien choisir l’événement “JMZH 2025” dans le champ “Événement”.
Un tutoriel
Un tutoriel complet est à disposition pour vous aider durant la procédure d’inscription.
Un webinaire pour tout comprendre
Comme l’année dernière, la Fondation pour la Nature et l’Homme organise des webinaires de prise en main de la plateforme “J’agis pour la nature” destiné à tous les organisateurs d’activités qui souhaitent découvrir le fonctionnement et les possibilités offertes par la plateforme pendant la JMZH.
Le secrétariat de la convention de Ramsar met à votre disposition l’affiche officielle et le logo de la Journée mondiale des zones humides 2025. Découvrez la ci-contre et sur le site internet de la JMZH.
Ses couleurs inhabituelles sont une référence directe au drapeau du Zimbabwe qui accueillera la prochaine COP Ramsar (COP 15) au mois de juillet 2025.
Les différentes déclinaisons sont en cours de réalisation et devraient être disponibles courant décembre. Elles seront mises en ligne sur la même page à mesure de leur finalisation. Toutes les ressources utiles pour communiquer sur les animations se trouvent dans la rubrique “Supports pédagogiques et de communication” du site internet.
Des ressources disponibles à utiliser sans modération et adaptables à vos besoins !
des éléments visuels (Affiches, bandeaux, bannières, logos…). Utilisables sur les réseaux sociaux et sur vos supports de communication.
des ressources pédagogiques. Des fiches pratiques, et des documents pour vous appuyer dans l’organisation de vos animations.
des expositions et des films sur les zones humides. Recensées par les Pôles-relais zones humides, ces ressources sont utilisables dans le cadre de vos animations.
Les différentes rubriques seront régulièrement alimentées avec les productions des différents partenaires de la JMZH.
Si pour vos besoins de communication, vous avez besoin des fichiers logo ou affiche modifiables, vous pouvez contacter l’association Ramsar France. Un dossier de presse sera également constitué et diffusé vers la mi-janvier. N’hésitez pas à contacter la coordination nationale pour demander des éléments complémentaires
Les ressources et informations utiles seront disponibles comme d’habitude dans le Centre de ressources Milieux humides : https://www.zones-humides.org/journee-mondiale-zones-humides
Ce poste est intégré au sein du pôle “gestion intégrée” du SMEAG avec l’objectif d’assurer une véritable prise en compte des politiques de l’eau dans les politiques d’aménagement et d’occupation des sols dans les documents d’urbanisme pour assurer la traduction opérationnelle des prescriptions en la matière.
Il s’agit donc notamment de réussir la mise en cohérence des SCoT et/ou PLUi avec le) dispositions des SAGE pour permettre aux territoires de s’adapter aux changements climatiques (sécheresse, tensions sur l’AEP et l’assainissement, inondations, …)
A l’occasion du Salon des maires et des Collectivités de France, le Cercle Français de l’Eau (CFE) organisait une Conférence de Presse afin de présenter les résultats de sa grande étude nationale sur le financement de l’eau en France et ses recommandations associées menée avec l’appui du ministère de la Transition écologique et en partenariat avec AMORCE, l’ANEB et Intercommunalités de France.
Devant les journalistes et les nombreux élus et acteurs institutionnels présents, le Président de l’ANEB, Bruno FOREL mettait en lumière le manque criant de financements pour le « grand cycle de l’eau » alors que sont d’ores et déjà annoncés des besoins manquants de plus de 12 milliards par an.
Nous ne pouvons plus agir de manière individuelle dans nos collectivités pour répondre à des enjeux qui dépassent nos frontières et nos compétences sectorielles, et pour lesquels nous n’avons pas les moyens individuellement d’agir efficacement : une action collective, à l’échelle des enjeux et donc par bassin et sous-bassin, est incontournable.
“En réponse à des phénomènes majeurs, les élus ont su s’organiser en établissement publics de bassin. Avec les changements climatiques, nous devons généraliser et renforcer cette organisation pour une réponse structurelle à un problème structurel.”
Retrouvez l’étude du CFE et le Communiqué de Presse en Pièces jointes.
Extrait du Communiqué de Presse du CFE
Financement et Gouvernance du Grand Cycle de l’Eau
Pour poursuivre les échanges sur ce sujet de Financement et de Gouvernance du Grand Cycle de l’Eau, l’ANEB vous donne rendez-vous à son Congrès annuel, organisé cette année à Mont de Marsan, avec l’institution Adour, du 16 au 18 Décembre.
Cette vidéo est consacrée aux intérêts des zones humides pour la qualité de l’eau dans le département de la Vienne (86). Elle a été réalisée par le CPIE Seuil du Poitou dans le cadre du CTMA Clain Aval.
Les tourbières offrent des services importants aux populations humaines : stockage de carbone, régulation de l’eau, hotspot de biodiversité… Certaines ont fait l’objet d’exploitation au 19ème siècle, elles sont aujourd’hui dégradées et réémettent le carbone qui était stocké dans le sol. C’est tout l’enjeu de la restauration des tourbières. Dans cette vidéo, vous suivrez un exemple de restauration des tourbières en Franche-Comté dans le cadre du programme LIFE Climat tourbières du Jura. Les gestionnaires d’espaces naturels vont chercher à remettre de l’eau dans ces tourbières et arrêter les émissions de carbone. Cette vidéo a été présentée dans le cadre de la rencontre annuelle des gestionnaires d’aires protégées, organisée cette année par l’Office français de la biodiversité (OFB) et la Fédération des Conservatoires d’espaces naturels (FCEN), le 8 octobre 2024.
Le palmarès 2024, établi par le Comité scientifique et technique le jeudi 4 juillet, a été déterminé à partir de 10 visites de terrain sélectionnées parmi 50 candidatures. Nous vous proposons un retour sur l’édition 2024 dont le thème était « Sobriété et biodiversité ».
Zoom sur les lauréats ayant agi sur la préservation et la restauration des milieux humides
La communauté de communes Bruyères Vallons des Vosges, capitale française de la biodiversité 2024
La communauté de communes Bruyères Vallons des Vosges se distingue par son engagement pour la sobriété lumineuse, en vue de restaurer une trame noire favorable au cycle de vie des espèces nocturnes telles que les amphibiens, chauves-souris, rapaces et papillons de nuit. Elle mène également des travaux de restauration des milieux naturels essentiels à ces espèces, notamment en ce qui concerne les mares et la ripisylve. Ces efforts sont accompagnés d’initiatives de sensibilisation à l’environnement, comme des actions éducatives autour des tourbières.
Saint-Médard-en-Jalles, meilleure commune pour la biodiversité 2024 (catégorie – de 100 000 habitants)
Située sur l’une des dernières landes atlantiques humides de Gascogne, la commune de Saint-Médard-en-Jalles fait face à une forte pression foncière. Pour préserver ces milieux naturels fragiles, diverses parties prenantes de la commune se sont mobilisées pour créer des Espaces Naturels Sensibles (ENS), couvrant aujourd’hui près du tiers du territoire. Ces espaces permettent de protéger des habitats essentiels, autrefois destinés à l’urbanisation.
Nantes, meilleure commune pour la biodiversité 2024 (catégorie + de 100 000 habitants)
À Nantes, le plan “Pleine terre” ambitionne de désimperméabiliser 14 hectares d’espaces urbains d’ici 2026. En parallèle, la ville développe des “Oasis de biodiversité” dans ses parcs, en s’adaptant aux spécificités de chaque site. Parmi les actions phares, la restauration des ripisylves locales, grâce à la réintroduction d’espèces des berges de l’Erdre, offre un refuge aux chauves-souris et autres espèces. Un autre projet marquant est la création de palettes végétales adaptées aux différents milieux (ripisylves, haies bocagères, mares) avec des espèces spécifiques à chaque zone.
Communauté de communes du Pays Fléchois, meilleure intercommunalité pour la biodiversité
Le Pays Fléchois applique un large panel des bonnes pratiques de gestion durable des zones humides, notamment par le biais du pastoralisme et du réemploi local des matériaux issus de l’entretien des sites. Une partie de ces actions se déroule dans la Réserve Naturelle Régionale (RNR) du Marais de Cré, où coexistent divers habitats tels que prairies humides, ripisylves et boisements alluviaux, qui abritent notamment une héronnière.
Le Gouvernement lance la campagne annuelle pour rappeler les bons réflexes à adopter en cas d’épisode de pluie intense ou d’inondation soudaine, comme reporter ses déplacements, laisser ses enfants en sécurité à l’école, rester dans un lieu en sécurité, même au bureau si nécessaire…
Retrouvez-les sur le site officiel de la campagne et n’hésitez pas à les partager, ils peuvent sauver des vies ! 👉 pluie-inondation.gouv.fr
Dès aujourd’hui, et en anticipation de toute urgence qui pourrait survenir pendant la saison des pluies intenses, préparez un kit d’urgence 72h pour pouvoir vivre en autonomie pendant quelques jours : nourriture et eau potable, médicaments, radio à piles, bougies, copie de la carte d’identité.
Ce prix couronne son documentaire Odyssée mare, un film poétique de 27 minutes qui plonge les spectateurs dans un univers fascinant où la nature se dévoile dans toute sa splendeur, du plus petit au plus grand.
Formée à l’Iffcam, l’école de cinéma animalier des Châteliers, Léa Collober s’est imposée comme une figure montante du cinéma naturaliste. Installée près de Secondigny, dans la région des Deux-Sèvres, elle a consacré trois années de sa vie à l’immersion dans la réserve naturelle régionale (RNR) du Bocage des Antonins, à Saint-Marc-la-Lande, pour réaliser ce court-métrage. Odyssée mare est le fruit d’une exploration minutieuse de la mare, où l’infiniment petit côtoie l’infiniment grand, du monde microscopique des cellules à l’immensité du cosmos.
Selon Léa Collober, l’objectif de son film est de « montrer aux gens tout ce qu’ils ne voient pas », des organismes microscopiques aux oiseaux qui peuplent la réserve, tout en soulignant l’interconnexion de chaque forme de vie.
Le film sera disponible en DVD à partir du 2 avril 2024 et sur Salamandre TV dès juillet 2024, offrant ainsi une nouvelle occasion de découvrir cette œuvre.
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