gardons 2024

Offre d’emploi – Chargé(e) de mission économie d’eau – EPTB Gardons

L’EPTB Gardons (Etablissement Public Territorial de Bassin) est l’organisme public en charge de la gestion de l’eau sur le bassin versant des Gardons. Il regroupe 160 communes au travers de 8 intercommunalités et anime la Commission Locale de l’Eau (CLE des Gardons). Il a pour principales missions la prévention des inondations, la gestion de la ressource en eau et la préservation des milieux aquatiques.

Le bassin versant des Gardons couvre plus de 2 000 km², des Cévennes lozériennes et gardoises jusqu’à Comps et la plaine d’Aramon où il rejoint le Rhône.

Une des missions importantes de l’EPTB Gardons est d’assurer une gestion équilibrée de la ressource en eau, notamment dans un contexte de fort impact du changement climatique sur notre territoire. L’EPTB Gardons étoffe ainsi son équipe consacrée à la gestion quantitative avec un(e) chargé(e) de mission supplémentaire en charge notamment de la mise en place d’actions d’économie d’eau auprès des particuliers (récupérateurs d’eau, équipements hydro économes…) à l’échelle du bassin versant.

Contrat de projet de 3 ans à partir du 1er janvier 2025 – Poste basée à Vézénobres (30).

Les candidatures (lettre de motivation, CV) sont à transmettre à M. le Président de l’EPTB Gardons, avant le lundi 18 novembre à 17h.

  • par mail : rh@les-gardons.fr
  • par courrier : EPTB Gardons – 6 avenue Général Leclerc – 30000 Nîmes.

La gestion dématérialisée sera privilégiée, n’envoyez pas de courrier si vous transmettez votre candidature par mail. Un accusé de réception par mail vous sera transmis.

Pour tout renseignement : 04 66 21 73 77 (votre question déterminera votre interlocuteur).

Consulter la fiche de poste (ici)

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Mission conjointe de contrôle sur les inondations survenues en 2023 et au début de l’année 2024 – le rapport et “son essentiel” sont parus.

Le 25 septembre 2024, à l’issu de 8 mois de travaux, les deux commissions du Sénat ayant mené une mission de contrôle conjointe sur les violentes inondations survenues en France en 2023 et au début de l’année 2024 .(commission de l’aménagement du territoire et du développement durable, et la commission des finances ) ont adopté, à l’unanimité, les 20 recommandations formulées par Jean-François RAPIN et Jean-Yves ROUX dans leur rapport pour visant à mieux armer les territoires face aux inondations dans un contexte de changement climatique, selon trois mots d’ordre : simplification, solidarité et adaptation.

Vous trouverez ci dessous le Rapport d’information complet ainsi que l’Essentiel.

En savoir plus

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PARUTION DU RAPPORT DE L’INVENTAIRE NATIONAL DES PLANS D’EAU (INPE)

L’Inventaire National des Plans d’Eau (INPE) a récemment été finalisé et remis au ministère de l’Environnement, en particulier à la Direction de l’Eau et de la Biodiversité. Ce projet, porté par l’Inspection Générale de l’Environnement et du Développement Durable (IGEDD), découle des recommandations issues des Assises de l’Eau en 2019 et du Varenne agricole de l’eau et du changement climatique en 2022.

Le rapport et l’inventaire accessibles

Le rapport de l’INPE est désormais public et disponible sur le site des rapports de l’IGEDD. L’inventaire lui-même peut être téléchargé via la plateforme Géoservices de l’IGN. Il couvre l’ensemble des départements français, à l’exception de la Guyane, où des défis environnementaux rendent le travail complexe. Les plans d’eau, représentant environ 1 % du territoire national (environ 500 000 hectares), sont cruciaux pour la biodiversité, l’écologie, et l’approvisionnement en eau pour divers usages économiques.

Objectifs et base de données

L’INPE a pour but de créer une base de données nationale sur les plans d’eau, intégrant des informations sur leurs caractéristiques, usages, et impacts environnementaux. Ce projet s’inscrit dans une logique de complémentarité avec les inventaires locaux réalisés par divers acteurs territoriaux.

Un guichet collaboratif pour l’enrichissement des données

Pour faciliter l’accès aux données de l’INPE, un guichet collaboratif a été mis en place. Cela permet aux utilisateurs de naviguer dans les données, de contribuer à leur enrichissement et de signaler des informations. Bien que ce guichet ait présenté des dysfonctionnements récemment, l’IGN travaille à leur correction.

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Accès aux ressources

  • Pour consulter le rapport INPE, vous pouvez vous rendre sur le site des rapports de l’IGEDD en pièce jointe.
  • L’inventaire est accessible sur la plateforme Géoservices ici, offrant des options de téléchargement par région ou département.

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WEBCONFÉRENCE : S’APPUYER SUR LES MARES EN TANT QU’INFRASTRUCTURES AGROÉCOLOGIQUES

La préservation des mares est au cœur de nombreuses dynamiques de gestion durable des milieux naturels, en particulier dans les exploitations agricoles. Pour sensibiliser et partager des connaissances sur l’importance des mares, l’OiEau, en partenariat avec le Centre de ressources milieux humides, organise une webconférence financée par l’Office Français de la Biodiversité (OFB) sur le thème : “S’appuyer sur les mares en tant qu’infrastructures agroécologiques”. Ce rendez-vous aura lieu le lundi 21 octobre 2024 de 14h00 à 16h00.

Les mares : des milieux riches en services

Les mares, ces milieux humides de petite taille, ont souvent des origines anthropiques liées à des usages disparus ou modifiés. Elles offrent de nombreux services à la société : habitats et refuge pour la biodiversité, effets bénéfiques sur le cycle de l’eau, ilots de fraicheur, identité paysagère, abreuvement du bétail, ressource en eau, etc.

L’intégration des mares dans les exploitations agricoles peut également présenter des intérêts agronomiques importants. Bien positionnées, elles permettent de préserver la ressource en eau, tandis que les agriculteurs, grâce à des pratiques d’aménagement et d’entretien, contribuent activement à leur préservation. Certains exploitants vont même plus loin en créant de nouvelles mares sur leur parcellaire, participant ainsi à une meilleure densification du maillage de mares sur leur territoire.

Quels intérêts agronomiques pour les mares ?

À travers cette webconférence, plusieurs experts viendront partager leurs connaissances et leurs expériences sur la manière dont les mares peuvent être intégrées dans les pratiques agricoles et quels bénéfices en découler. Ce sera également l’occasion de découvrir des témoignages concrets de projets menés sur le terrain.

Programme de la Webconférence

Introduction : les mares agricoles

  • Bertrand Sajaloli, Maître de conférences – Université d’Orléans
  • Silène Levoir Levillain, Chargée de mission agriculture et zones humides – Chambre d’agriculture France

Témoignage : le réseau partenarial du Gers sur les mares

  • Thanh-Chi Nguyen, Cheffe de projet eau et zones humides – Adasea du Gers
  • Participation d’un(e) exploitant(e) agricole à confirmer

Témoignage : les mares au sein d’une exploitation agricole : quels rôles possibles ?

  • Coraline Domingues, Responsable des programmes régionaux – CEN Normandie

Témoignage : la mare tampon, un outil de lutte contre l’érosion et le ruissellement

  • Valentin Deforest, Technicien bassin versant – Syndicat Interdépartemental du SAGE de la Nonette

Conclusion

  • Lorenzo Arduino, Coordinateur réseau et plaidoyer zones humides – Pôle-relais Mares et vallées alluviales


Un événement pour tous les acteurs de la préservation des milieux humides

Cet événement est ouvert aux structures d’accompagnement et de conseil agricole, ainsi qu’aux acteurs engagés dans la protection des mares et des milieux humides. Il s’adresse également aux bureaux d’études, équipes de recherche, enseignants, étudiants et toute personne intéressée par la gestion des milieux naturels et les infrastructures agroécologiques.

Inscription

Pour participer à cette webconférence, inscrivez-vous dès maintenant via ce lien.

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LABEL “MARES REMARQUABLES” : LES CANDIDATURES SONT OUVERTES !

Depuis 2019, le Conservatoire d’espaces naturels des Hauts-de-France, à travers son Groupe Mares, a lancé un label pour mettre en avant les mares remarquables présentes dans cette région riche en biodiversité. L’objectif ? Valoriser ces milieux uniques, encourager leur préservation et promouvoir les bonnes pratiques de gestion.

Promotion des mares à grande valeur écologique

Les mares labellisées se caractérisent par une richesse particulière en termes de faune et de flore. Celles-ci sont souvent le fruit d’efforts de restauration et de gestion durable, visant à préserver la biodiversité locale. Le label « Mares remarquables » permet de valoriser ces espaces et de les présenter comme des exemples à suivre. En mettant en avant des mares à forte valeur écologique, paysagère ou historique, le Groupe Mares aspire à sensibiliser le public à la richesse de ces milieux souvent méconnus et à encourager des comportements respectueux envers la nature.

Quels critères pour obtenir le Label ?

Pour obtenir ce label, les mares doivent répondre à des critères écologiques rigoureux, évalués par un jury de bénévoles. Voici les principaux critères pris en compte :

  • La présence d’un large éventail d’espèces de faune et de flore, garantissant une biodiversité riche.
  • La mise en œuvre d’actions de gestion et de valorisation permettant de préserver cet écosystème à long terme.

Ces critères assurent que seules les mares présentant un réel intérêt écologique et un potentiel de préservation durable puissent être labellisées.

Pourquoi candidater au Label « Mares Remarquables » ?

Vous avez restauré une mare ou vous en gérez une qui présente un intérêt écologique, paysager ou historique ? Obtenir le label « Mares remarquables » est une manière de la valoriser et d’obtenir une reconnaissance officielle de sa qualité. En tant que lauréat, vous bénéficierez :

  • D’une forte visibilité : Le label est mis en avant dans de nombreux médias, offrant ainsi une belle opportunité de promouvoir votre mare.
  • D’un panneau signalétique : Chaque mare labellisée se voit offrir un panneau « Mares remarquables » à installer sur le site pour informer le public de cette distinction.
  • D’un événement de célébration : Lors de la remise des prix, un événement est organisé, avec un prix spécial « Coup de cœur » attribué par le jury.

De plus, une page dédiée à chaque mare labellisée est publiée sur le site du Groupe Mares, permettant à chaque lauréat de partager son histoire et ses efforts pour préserver ces espaces précieux.

Les étapes clés du Label

Si vous souhaitez candidater, voici un aperçu des étapes à suivre :

Début juin : Annonce des résultats lors de la Fête des mares, un événement convivial célébrant la richesse des mares de notre région.

Juin à octobre : Période d’ouverture des candidatures.

Octobre à décembre : Clôture des candidatures et pré-sélection des dossiers.

Décembre à avril : Visite sur site des mares présélectionnées par un membre du comité de sélection.

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Conditions et engagements

Pour candidater, il est nécessaire que la mare soit inscrite dans l’outil de recensement des mares régionales et qu’elle soit accessible au public au moins une fois par an lors d’un événement (comme la Fête des mares, la Fête de la Nature ou la Fréquence Grenouille). De plus, les propriétaires ou gestionnaires de mares devront signer une charte de bonnes pratiques de gestion et accepter d’accueillir le jury pour une réévaluation de la mare cinq ans après l’attribution du label.

Qui peut candidater ?

Le label est ouvert à différents types de candidats : propriétaires privés, collectivités locales et gestionnaires d’espaces naturels. Il est aussi possible de déposer un dossier pour un réseau de mares (par exemple, un réseau de trous de bombe), à condition de justifier cette demande dans le dossier de candidature. Néanmoins, chaque gestionnaire ou propriétaire ne peut soumettre qu’un dossier par an.

Postulez dès maintenant !

Pour plus d’informations, rendez-vous sur le site du Groupe Mares ou contactez-les à l’adresse suivante : contact@groupemares.org.

Pour candidater, cliquer sur ce lien

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Webinaire “Présentation de la base de données régionale des zones humides”

Ce webinaire est organisé conjointement par l’Agence régionale de la biodiversité et de l’environnement, le Pôle-relais lagunes méditerranéennes, le Parc naturel régional du Luberon et le Conservatoire d’espaces naturels de Provence-Alpes-Côte d’Azur.

Qu’est-ce que le portail géographique des zones humides ?

Le portail géographique des zones humides est une base de données qui permet à tous, professionnels et citoyens, de consulter l’inventaire des zones humides de la région Provence-Alpes-Côte d’Azur. Il est un outil d’aide à la décision pour les collectivités publiques, les gestionnaires d’espaces naturels et de milieux aquatiques.

Inscription au webinaire

Ce webinaire est réservé aux membres du réseau régional des espaces naturels protégés, Réseau Régional des Gestionnaires de Milieux Aquatiques, et du Pôle-relais lagunes méditerranéennes.

Inscription en ligne et obligatoire avant le 12 novembre. Plus d’informations

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Replay table ronde “Les zones humides : sauvons les !”

Les zones humides sont des éponges qui absorbent l’eau, la filtrent et la restituent aux milieux en surface comme en profondeur. Elles sont indispensables au cycle de l’eau, à la vie des végétaux, au stockage du CO2. Elles contribuent à la lutte contre le réchauffement climatique et les canicules. À proximité des villes, elles absorbent une partie du bruit ! La biodiversité qui s’y développe est riche : elles ne couvrent que 6,4% de la surface des continents, pourtant elles hébergent 12 à 15 % du nombre d’espèces animales de la planète, dont (hors océans), 35 à 40% des vertébrés, 40% des poissons, 100% des amphibiens et 25% des mollusques. Les sauver, mais de quoi ? De l’agriculture intensive et de l’augmentation de la quantité de bétail qui demande de plus en plus d’espace de pâturage. Et, toujours cette même cause : le désir de manger de tout, toute l’année, et surtout beaucoup trop de viande. Du détournement de l’eau via les barrages, les digues, les canaux, bassines et canalisations. De l’artificialisation des sols et du développement d’infrastructures en zones urbaines, mais aussi sur les côtes et les vallées fluviales, qui sont surpeuplées. Avec :

  • Eric Lenoir, paysagiste et auteur du petit et du grand traité du jardin punk
  • Céline Collin-Bellier, Pédologue cartographe – Docteure en Agronomie,

La table-ronde est animée par Isabelle Morand et Isabelle Vauconsant, journalistes. Cette table-ronde est préparée en partenariat avec l’AJJH (Association des Journalistes du Jardin et de l’Horticulture)

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Offre de stage : Assistant(e) de projets en médiation scientifique 

Description du poste

L’objectif principal du stage est de participer, en lien avec l’équipe de médiation, à l’élaboration de nouveaux contenus et de nouveaux outils pédagogiques, notamment pour les cibles décideurs et scolaires (60% du stage). Le ou la stagiaire participera aussi directement aux actions de médiation sur site (40%).
Le ou la stagiaire se verra confier au cours de son stage les missions suivantes :
• Création de contenus ludiques et vulgarisés pour sensibiliser les décideurs publics et privés (jeux, sérieux, ateliers) à la nécessaire prise en compte des enjeux environnementaux : conception d’une ou deux sessions d’animations visant directement cette cible sur les thématiques zones humides, aménagement, services écosystémiques…
• Participation à l’élaboration d’une exposition temporaire itinérante à destination des publics de La Maison du Lac de Grand-Lieu, en collaboration avec un photographe professionnel naturaliste.
• Participation à la préparation des événements sur site (Journée mondiale des zones humides, fête de la nature) : lien avec les partenaires, demande de devis, proposition d’animations.
• Participation à l’accueil des publics : animations, visites et ateliers pour les groupes scolaires, les professionnels et le grand public.

Le ou la stagiaire sera sous la supervision de la responsable de médiation scientifique et en lien étroit avec le responsable des publics.

Titres restaurant, forfait mobilité ou prise en charge abonnement transport à 75%
Stage conventionné avec gratification selon barème légal

CV et lettre de motivation à faire parvenir à recrutement@loireatlantique-developpement.fr
Date limite de réception des candidatures : 03/11/2024

Profil recherché

– Formation souhaitée
Niveau Bac+5
Master 2 de type médiation scientifique/éducation à l’environnement/valorisation du patrimoine.

– Connaissances théoriques et pratiques – Savoir
Connaissances de base en environnement, faune, flore et zones humides

– Compétences techniques et méthodologiques – Savoir-faire
Une bonne maîtrise des outils bureautiques

– Qualités professionnelles – Savoir-être
Aisance orale : vous appréciez et vous sentez à l’aise dans la communication orale, et notamment en public.
Vous détenez des qualités relationnelles, pédagogiques et rédactionnelles.
Vous êtes reconnu(e) pour votre sens de l’écoute et le respect de vos interlocuteurs(trices), vous savez établir une relation de confiance avec vos interlocuteurs(trices).
Vous faite preuve d’humilité.
Organisé(e) et rigoureux(se) : vous êtes capable de mener les missions qui vous sont confiées en autonomie et avec méthode.
Vous faites preuve de créativité, de dynamisme et de polyvalence.
Vous êtes force de propositions et vous savez prendre des initiatives.
Vous vous intégrer et vous impliquez dans une dynamique d’équipe, vous coordonnez vos activités avec celle de ses collègues.
Agir en faveur de la protection de l’environnement est, pour vous, une grande source de motivation.

Cliquez ici pour plus d’information

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Colloque SHF – Faire la paix avec l’eau – Appel à Communication

Délibérations et prise de décision autour de l’eau, bien commun
Prévenir, gérer et sortir des conflits

Séminaire du réseau “Les sciences humaines et sociales et les enjeux de l’eau”

Ce séminaire se tiendra à Paris le 19 mars 2025. Sous le titre “Faire la paix avec l’eau”, le sujet concernera les délibérations, prises de décisions autour des conflits liés à l’eau, la prévention et les sorties de crises sur l’eau, ainsi que les conséquences de ces conflits sur les territoires et les populations.

Thèmes :

Thèmes : La paix de l’eau plutôt que la guerre de l’eau, avec le parti pris de se tourner vers les modalités de construction ou de maintien des équilibres.

Ce séminaire vise prioritairement à identifier les pistes et pratiques favorables à la résolution pacifique – ce qui ne veut pas dire sans tensions – des conflits liés à l’eau. Il intègre également les problématiques de sortie de crise lorsque les conflits graves n’ont pu être prévenus. Dans l’un ou l’autre cas, on cherchera à en éclairer les conséquences au niveau des territoires. A côté des espaces de conflits ou de mitigation, le séminaire entend également mettre en lumière les vertus sociales, culturelles et environnementales de l’eau pourvoyeuses d’aménités capables de renouveler les liens entre individus, entre communautés à l’échelle d’un territoire.

    1 – Négociations, concertations, médiations et sorties de conflits de l’eau.

    Il s’agit d’aborder des questions provenant de l’histoire, de l’actualité, ou d’études prospectives, mais aussi des questions liées à la valeur sociale et culturelle de l’eau.
    – les débats sur la gestion de l’eau et notamment les aspects multi-usages de l’eau
    – les concertations et les conflits sur les ouvrages hydrauliques (barrages, réservoirs, ouvrages de protection, voies d’eau, canaux…)
    – les questions d’accès à l’eau potable et à l’assainissement
    – les enjeux de recherche, d’éducation, d’information,
    – les représentations culturelles des conflits liés à l’eau, par exemple dans la littérature et le cinéma, l’imaginaire de l’eau, les utopies : peuvent-elles guider vers des voies vers la paix ?

    2 – Accompagnement des populations et territoires marqués par des tensions ou risques liés à l’eau

    Effets des conflits mal ou pas gérés sur ces populations.
    – les politiques des territoires (continentaux, insulaires et littoraux) et infrastructures, sobriété, nouvelles technologies, planification écologique ;
    – les mouvements de population et l’urbanisation, la démographie,
    – les transformations des écosystèmes agricoles, forestiers et naturels,
    – les aspects fonciers, immobiliers et les assurances.

    Plus d’informations :

    epageloing

    Vidéo : Restauration de la zone humide de l’île du Perthuis à Nemours

    L’objectif principal de ce projet était de redonner à cette île sa capacité de stockage en cas de crue, lui permettant ainsi de retrouver sa fonctionnalité d’origine.

    Le platelage installé en juin 2023 a permis d’ouvrir l’île au public, lui offrant ainsi la possibilité de la visiter et de découvrir sa richesse naturelle, tout en le sensibilisant à l’importance de préserver les zones humides. Cependant, la restauration de cette zone ne constituait que la première phase des travaux ! Actuellement, l’EPAGE du Bassin du Loing est en cours de réalisation de la seconde phase, consistant à créer un bras de contournement dans l’île du Perthuis afin d’assurer la continuité écologique. Connue comme le poumon vert de Nemours, l’île du Perthuis va prochainement retrouver toute sa splendeur d’antan ainsi que sa véritable essence.

    Vidéo : Vous avez dit biodiversité ? Les zones humides – Plan d’eau d’Exireuil (79)

    Dans le cadre de la Stratégie nationale biodiversité, et en collaboration avec le ministère de la Transition écologique et de la Cohésion des territoires, l’Office français de la biodiversité lance une grande campagne de communication afin de sensibiliser les Français à l’importance de préserver la biodiversité, tout en leur donnant des clés pour agir.


    Plus d’infos sur : https://www.ofb.gouv.fr/tousbiodiversite

    biodiversite economie

    5e édition du Forum Biodiversité et Économie

    Les objectifs du Forum Biodiversité et Économie

    L’objectif du FBE est de mobiliser les acteurs économiques, notamment les entreprises, afin qu’ils s’engagent en faveur de la biodiversité et qu’ils la prennent en compte dans le développement de leurs activités. Pour cela il s’agit de :

    Susciter l’engagement des acteurs économiques dans le programme Entreprises engagées pour la nature.

    Rassembler les acteurs économiques qui agissent déjà en faveur de la biodiversité afin de renforcer leur capacité d’action.

    Faire monter en compétences les acteurs économiques sur leur engagement en faveur de la biodiversité et sa prise en compte dans le développement de leurs activités (leviers d’actions et d’engagement, mise à disposition de connaissances, initiatives et dispositifs existants).

    Créer des espaces d’échange pour mettre en relation les acteurs (réseau vertueux, BtoB, etc.).

    Ce Forum est aussi l’occasion de disposer d’un moment fort en termes d’annonces, notamment politiques, et de visibilité des différentes initiatives.

    Les inscriptions au Forum Biodiversité et Économie 2024 sont désormais ouvertes.

    Cliquez ici pour voir le programme.

    Cliquez ici pour vous inscrire.

    Cliquez ici pour plus d’informations.

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    RENCONTRES CHERCHEURS / GESTIONNAIRES 2024 : “VERS UNE SYNERGIE CHERCHEURS-GESTIONNAIRES POUR LES SUIVIS LONG-TERME SUR LES ZONES HUMIDES ET COURS D’EAU”

    Alternant retours d’expériences, ateliers, et temps d’échanges, cette journée permettra d’échanger sur les suivis long-terme et les protocoles mis en place par les chercheurs et les gestionnaires sur le bassin de la Loire, ainsi que sur leurs potentielles mutualisations.

    Contexte des Rencontres :

    Ces journées s’inscrivent dans un objectif général de coopération et co-construction de projets entre les chercheurs et les gestionnaires d’espaces naturels. Depuis 2023, la FCEN et la ZAL se sont ainsi associées pour relancer une animation chercheurs /gestionnaires sur le bassin de la Loire. La première animation a eu lieu lors des Rencontres C/G des 28 et 29 septembre 2023 à Bourges et Châtel-de-Neuvre. Ces journées ont permis de favoriser la mise en relation entre ces deux groupes d’acteurs, tout en identifiant les besoins propres et les modes de fonctionnement satisfaisants pour chacun d’eux, et les enjeux prioritaires de recherche et de gestion sur le bassin ont pu être discutés.

    Les cinquante participants à ces journées ont confirmé l’intérêt pour une poursuite de l’animation dans les années à venir. Les protocoles de suivi entre chercheurs et gestionnaires ayant été une thématique remontée des besoins des Rencontres de 2023, elle est le sujet de cette seconde édition. 

    Les gestionnaires, en charge de la gestion et du suivi de l’évolution de milieux naturels, utilisent des protocoles de suivis pour évaluer l’état écologique des milieux qu’ils gèrent. Ces protocoles sont recensés dans leurs plans de gestion, mais ils peuvent parfois être insuffisants pour appréhender la complexité de leur milieu. Des éléments manquants sont souvent notés : manque d’état initial, de données abiotiques, etc. De leur côté, les chercheurs utilisent des protocoles de suivis standardisés pour être en mesure d’être publiés, permettant de calculer des indices de diversité ou encore de comprendre le fonctionnement d’un écosystème. Afin de répondre à la fois aux enjeux de gestion de sites naturels et à ceux de répondre à des questions de recherche, il est nécessaire d’échanger ensemble pour établir des protocoles communs, minimaux et utilisables par les deux types d’acteurs.

    Objectifs de la Rencontre :

    • Favoriser la mise en relation et les échanges entre chercheurs et gestionnaires ;  
    • Partager les expériences sur les protocoles de suivi long-terme, en axant sur leurs points communs et d’amélioration éventuels ; 
    • Identifier des méthodes et des variables suivies afin de définir des protocoles communs permettant à la fois une valorisation scientifique (analysable statistiquement) et l’identification ou la comparaison à des seuils de références. 

    Dates et lieux : 

    Le 21 novembre 2024 à l’INSA Centre-Val de Loire, 3 rue de la Chocolaterie, 41000 Blois.

    Les inscriptions sont ouvertes jusqu’au 10 novembre : accédez au formulaire d’inscription.

    Consultez le programme prévisionnel.

    Pour plus d’informations, consultez la page dédiée à l’évènement, sur le Centre de Ressources Loire nature.    

    ATELIER D’APPLICATION DU PROTOCOLE PIÉZOMÉTRIE DE LA BOITE À OUTILS NATIONALE MHÉO

    DÉTAILS DE L’ÉVÈNEMENT

    Horaires : 9h00 – 16h30

    Date: novembre 8

    Il s’agit d’un atelier sur l’application du protocole piézométrie de la Boite à outils nationale MhéO, qui renseigne sur la dynamique hydrologique de la nappe de la zone humide. MhéO propose un socle commun de protocoles standardisés pour répondre à deux objectifs : suivre l’évolution de l’état des zones humides et l’effet des travaux de restauration sur ces milieux.

    La formation a pour objectif de savoir mettre en œuvre le protocole. La journée est organisée de la manière suivante :

    • Le matin, en salle, sera abordé les éléments théoriques du protocole ;
    • L’après-midi est dédié à sa mise en œuvre. Le formateur est Romain Dupéré, écologue à Eco-Metrum.

    Les inscriptions sont obligatoires, gratuites et ouvertes jusqu’au 4 novembre 2024 : Formulaire d’inscription

    Public concerné : les agents situés sur le bassin Adour-Garonne (technicien de rivière, de zone humide, animateur de bassin versant, de SAGE, gestionnaire, etc) ayant mis en œuvre le protocole ou souhaitant le mettre en œuvre. Pour plus d’information, merci de contacter Audrey DURIEZ sur aduriez@forum-marais-atl.com ou au 06 19 44 89 63.

    ATELIER D’APPLICATION DU PROTOCOLE PÉDOLOGIE DE LA BOITE À OUTILS NATIONALE MHÉO

    DÉTAILS DE L’ÉVÈNEMENT

    Horaires : 9h00 – 17h00

    Date: novembre 7

    Il s’agit d’un atelier sur l’application du protocole pédologie de la Boite à outils nationale MhéO, qui renseigne sur le niveau d’humidité du sol de la zone humide. MhéO propose un socle commun de protocoles standardisés pour répondre à deux objectifs : suivre l’évolution de l’état des zones humides et l’effet des travaux de restauration sur ces milieux.

    La formation a pour objectif de savoir mettre en œuvre le protocole. La journée est organisée de la manière suivante :

    • Le matin, en salle, sera abordé les éléments théoriques du protocole ;
    • L’après-midi est dédié à sa mise en œuvre. Le formateur est Christophe Ducommun, pédologue à l’Institut Agro d’Angers.

    Les inscriptions sont obligatoires, gratuites et ouvertes jusqu’au 4 novembre 2024. Formulaire d’inscription

    Public concerné : les agents situés sur le bassin Adour-Garonne (technicien de rivière, de zone humide, animateur de bassin versant, de SAGE, gestionnaire, etc) ayant mis en œuvre le protocole ou souhaitant le mettre en œuvre. Pour plus d’information, merci de contacter Audrey DURIEZ sur aduriez@forum-marais-atl.com ou au 06 19 44 89 63.

    Pour plus d’information cliquez ici.

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    Chargé-e d’études zones humides – Ecologue F/H – Vienne

    LOCALISATION : Vienne, France

    CONTRAT : CDI

    PROFIL : Ingénierie

    EXPÉRIENCE : > 1 an

    DATE DE DÉBUT : Poste à pourvoir dès que possible

    TYPE DE TÉLÉTRAVAIL : Télétravail partiel possible

    Le poste

    Au sein d’une équipe pluridisciplinaire et sous la responsabilité d’un chef de projet, le/la chargé(e) d’étude « zones humides » participera à la réalisation des études écologiques sur le volet “zones humides” :

    • Délimitation et caractérisation des zones humides selon l’arrêté du 24 juin 2008 et circulaires associées,

    • Analyse des impacts sur les zones humides et application à la démarche ERC aux zones humides,

    • Proposition et rédaction de mesures compensatoires en conformité avec les SDAGE (voir SAGE) associés,

    • Evaluation des potentialités des zones de compensation,

    • Analyse des fonctionnalités en application de la version 2 du guide de la méthode nationale d’évaluation des fonctions des zones humides,

    • Conseil et accompagnement des clients sur la thématique Zones Humides,

    • Déplacements à prévoir dans le secteur géographique de l’agence concernée (Auvergne – Rhône-Alpes) et périphériques (Provence-Alpes-Côte d’Azur)

    Profil recherché

    Vous êtes titulaire d’un Bac + 2 à 5 en écologie (ou expérience significative dans le domaine de compétence souhaité), vous disposez de bases en fonctionnalités des zones humides.

    Vous avez déjà travaillé sur de la délimitation des zones humides (critère pédologique a minima) ou avez des bases en pédologie.

    Vous avez des notions en réglementation relative à la Loi sur l’Eau, en démarche ERC et en étude d’impact. Des notions en botanique et phytosociologie, des zones humides notamment, serait un plus.

    Enfin, vous faites preuve de bonnes capacités rédactionnelles et relationnelles, êtes en maîtrise des logiciels de bureautique dont Excel notamment. Vous avez un véritable sens du travail en équipe.

    Le poste requiert des déplacements réguliers sur le terrain, ainsi le permis B est exigé.

    CONDITIONS ET AVANTAGES DU POSTE

    • Être Ecosphérien, c’est bénéficier d’une rémunération attractive selon votre profil et expériences. Elle est composée d’un salaire fixe, d’un intéressement et de la participation aux résultats d’Ecosphère, ainsi que de primes (vacances, d’évaluation et exceptionnelles).

    • Les Ecosphériens ont de nombreux avantages sociaux : RTT, titres Restaurant, télétravail, mutuelle prise en charge à 100%, l’annualisation du temps de travail, souplesse des horaires, des congés et absences, pas de travail imposé le week-end et jours fériés, participation aux transports publics, politique salariale incitative et dynamique.

    • Vous serez accompagné dans votre évolution de carrière (accompagnement personnalisé, formations, prise de responsabilités, promotion régulière en fonction des performances, mobilité sur l’un de nos nombreux sites dans toute la France).

    Cliquez ici pour plus d’informations.

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    Agent(e) technique – Travaux et gestion des cours d’eau et zones humides H/F

    Type d’offre : CDD (12 mois)
    Localisation : Aquitaine

    Présentation de l’offre

    Au sein de la régie technique du Syndicat et sous la responsabilité du chef d’équipe, vos missions s’articulent autour de la gestion et de l’entretien des cours d’eau et zones humides du territoire.

    Vous serez chargé de réaliser des travaux en milieux naturels d’abattage, de débroussaillage, de tonte, de plantation, d’aménagement de berges dans l’optique d’une gestion raisonnée des cours d’eau et des zones humides. 

    Missions principales :

    • Gérer et entretenir de manière raisonnée les cours d’eau et les milieux naturels
    • Valoriser écologiquement les cours d’eau et les milieux naturels
    • Repérer et signaler les dysfonctionnements hydrologiques/écologiques et les situations de danger (arbres dangereux, risque de crue, pollutions …)

    Tâches régulières :

    • Gérer et entretenir durablement les cours d’eau
      • Entretien de la ripisylve des cours d’eau (tailles, abattages, débroussaillage …)
      • Suppression et retrait des embâcles
      • Nettoyage des cours d’eau (ramassage et évacuation des déchets)
    • Restaurer et valoriser des cours d’eau et des milieux naturels
    • Signaler les dysfonctionnements hydrauliques/hydrologiques et les pollutions
    • Signaler et mettre en sécurité les situations de danger (arbres dangereux, risque inondation)
    • Suivre et entretenir le matériel

    Conditions :

    Temps de travail hebdomadaire : 35 heures, rémunération réglementaire, prestations CNAS

    Contrat à durée déterminée 1 an renouvelable

    POSTE À POURVOIR (Décembre 2024)

    Profil recherché

    De formation CAP ou BEP dans la gestion des espaces naturels ou espaces verts.

    Qualités requises :

    • Vous disposez d’un fort intérêt à la gestion et la préservation des milieux naturels.
    • Aptitudes au travail en extérieur en toute saison.
    • Vous disposez d’un bon relationnel.

    Pour postuler

    Les candidatures (lettre de motivation, CV) sont à adresser à Monsieur Le Président du Syndicat du Moron – Maison des services, 200 rue du Mas – 33710 Bourg-sur-Gironde.

    CONTACT

    Monsieur LEHMANN Hugo – Responsable de la mission rivière

    07 64 20 98 74

    contact@syndicatdumoron.fr